1. Grives ou merles


    Datte: 13/10/2019, Catégories: fh, jeunes, fête, amour, cérébral, odeurs, Oral pénétratio, init, amiamour, prememois, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    Faute de grives, on mange des merles. Un merle bien cuisiné sera toujours meilleur qu’une grive massacrée.
    
    Pourquoi diable les hommes préfèrent-ils les femmes belles ? On pourrait coller ça aux candidats bacheliers pour leur examen de philo, tiens, ça leur ferait les pieds à ces morveux. De mon temps, on passait le certificat d’études et basta, on allait bosser. La philo, c’était pour les surdoués, les fils à papa, ceux de la ville.
    
    Maintenant on se pose des questions sur tout, et même sur le pourquoi des questions qu’on se pose. C’est dire si le monde va mal.
    
    Dans ma campagne, et je dis « ma » campagne parce que ceux d’ailleurs ne sont pas vraiment chez eux ici, on se foutait pas mal du physique des filles quand j’étais jeune. Ce qui nous motivait, nous, les puceaux, c’était celles qui n’envisageaient pas d’attendre des épousailles pour offrir leur cul. Les salopes en somme. Une salope, pour nous, c’était une fille qu’on n’épouserait pas mais nous apprendrait la vie.
    
    Souvent, dans ma campagne, quand un garçon atteignait 18 ans sans avoir consommé, ses potes lui offraient une visite dans l’une de ces maisons closes de la ville voisine. Les pensionnaires n’étaient pas de toute première fraicheur, mais elles savaient y faire pour que l’heure ne dure que quelques minutes. Plus légers de l’équivalent de 10€ actuels et d’une dose massive de sperme, on repartait heureux de s’être vidé les burnes autrement qu’à la main, et on était devenu un homme aux yeux des autres. ...
    ... Un homme certes, mais un homme qui n’avait toujours pas convaincu une demoiselle honnête (une salope quand même) de lui offrir des plaisirs gratuits et volontaires.
    
    Ouais, ce n’est pas très glorieux mais j’ai tiré mon premier coup entre les cuisses d’une fille de joie. Et alors ? Elle était vieille et flasque, poilue et odorante, mais je me souviens encore de mon émoi profond quand elle m’a montré ses vieux nichons à sucer, et sa grosse chatte poilue à pénétrer. J’étais tellement excité que je n’ai même pas pu la prendre. J’ai arrosé honteusement sa toison fournie rien qu’à l’idée qu’enfin j’allais sentir sa chaleur humide. Tu parles d’un con. Eh bien cette gentille dame a fait ce qu’il fallait pour me remettre en forme. Elle avait, m’a-t-elle dit, une conscience professionnelle. J’étais puceau en arrivant ; il était hors de question que je reparte dans le même état. C’était aussi une affaire de réputation en somme. Elle avait le SAV dans la peau.
    
    Bon j’avoue, j’y suis retourné. J’étais un dragueur maladroit et j’échouais à chaque fois tout près du but. La Carole, elle aurait pu me faire une carte de fidélité d’ailleurs. Professionnelle oui. Philanthrope non. Tu paies, tu paies, tu te barres ; y’a du monde qui attend. Au suivant comme disait la chanson. Mais c’était une autre époque. Il n’y avait aucune honte de faire travailler les artistes d’un métier comme un autre. La Carole elle m’a fait la totale, toujours avec tendresse, toujours avec le but de me faire plaisir, ...
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