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Ch. 3 Où je perds le contrôle
Datte: 27/12/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Valetdecaro, Source: Literotica
... démène comme un fou pour tenter de m'échapper mais ils me forcent à rester immobile en me tordant les bras dans le dos. Je suis complètement paralysé et, plus je tente de résister, plus ils me font mal. Je n'ose même pas regarder ma voisine dans les yeux tellement je suis honteux. Je ne vois que ses jambes délicieuses tandis que les deux brutes maintiennent solidement mes bras derrière moi. Ma position commence à devenir très douloureuse, alors je murmure d'une voix mourante : « Je vous demande pardon, majesté... » « Pardon pour quoi? » questionne la même voix masculine. « Euh... pardon... pour... pour avoir... pardon parce que... j'ai bandé pour vous... » Je termine ma phase dans un éclat de rire générale. Paméla ne montre pas plus de pitié que les autres et ça m'afflige profondément. Elle ressemble à une reine sur son trône et je trouve que ce rôle lui sied à merveille. La réaction de ma bite est immédiate et je me rends compte que cette supériorité qu'elle a sur moi me procure un plaisir intense. « C'est bien, gros cochon ! » poursuit le même garçon. « Maintenant, tu dois embrasser les pieds de sa majesté Paméla pour obtenir sa grâce. » Je deviens rouge écarlate et je sens comme une boule dans le ventre. Je lève un peu la tête pour adresser un regard suppliant à Paméla, mais je ne vois rien d'autre que de la provocation dans son sourire. Elle a l'air heureuse de me faire baiser ses pieds devant tout le monde. Brusquement, d'une pression douloureuse dans ...
... mon dos, les deux lourdauds me font basculer en avant. Mon visage ne se retrouvent plus qu'à quelques centimètres des pieds nus de ma voisine. Le silence envahit tout doucement la terrasse et je sens que tous les regards se posent sur moi. Je sais que je n'ai plus le choix et je me résigne enfin à embrasser ses deux pieds. Jamais de ma vie je ne me suis senti aussi honteux. Le silence fait place à une clameur triomphale bientôt suivie d'un fou rire général. Je suis aussitôt submergé d'un sentiment d'impuissance difficilement supportable. Je suis le plus vieux et le plus riche de tous, je suis chez moi, et je ne peux rien faire pour arrêter cette comédie. Je me retiens pour ne pas éclater en sanglot. C'est le moment que choisit Paméla pour prendre enfin la parole. « Pas de pitié pour les gros cochons ! » annonce-t-elle sur le ton pompeux et très maniéré d'une princesse offensée. « Gardes ! Veillez jeter cet insolent aux crocodiles ! » J'ai juste le temps d'entendre leurs rires moqueurs avant que les deux costauds ne m'empoignent pour me jeter à l'eau tout habillé. Dépassé par la vitesse à laquelle ça s'est passé, je ne peux éviter de boire la tasse. Je me dépêche de refaire surface et je reprends mon souffle avant de tousser pour recracher l'eau. Les quatre jeunes sont tous morts de rire. Je rejoins aussitôt le bord et m'accoude à la margelle aux pieds des deux brutes. Paméla me regarde émerger en riant aux éclats : « Ce gros cochon est tellement mauvais que même les ...