Ch. 3 Où je perds le contrôle - Histoires de Sexe

Ch. 3 Où je perds le contrôle

... d'autres.

* * *

J'ai cru que cette foutue visioconférence ne s'arrêterait jamais ! Je rumine intérieurement en regagnant en vitesse ma cave à vin. Il y a un moment que j'entends du bruit provenant de la piscine, mais je n'ai malheureusement pas pu descendre plus tôt. Le simple fait de savoir que ma voisine se balade en bikini sur ma terrasse me met en rut. C'est bien la première fois que je bande pendant une réunion de travail.

Voyons voir ce que nous avons au programme cet après-midi? Apparemment, Manuela est bien présente puisque je vois sa tête qui dépasse de l'eau. Quant à Paméla, elle bronze paresseusement avachie dans le transat. Elle est formidablement bandante et désirable à s'en nouer le ventre. Son minuscule maillot de bain vert est assorti à la couleur de ses yeux mystérieusement dissimulés derrière des lunettes noires. Étonnamment, il y a beaucoup plus de canettes vides sur la table que d'habitude. Elles n'ont pas pu boire tout ça à elles deux. C'est pas possible ! Ou alors, elles doivent être complètement ivres. En tout cas, le spectacle de ces deux nymphettes aquatiques est toujours aussi charmant. La vue de ces jeunes corps en bikini et aux formes voluptueuses m'excite comme un fou. Je suis en train de me caresser langoureusement la bite en admirant la poitrine de ma voisine lorsque je sens que quelqu'un me saisit sous les bras. Surpris, je commence à remuer dans tous les sens mais en vain. Je ne peux rien faire contre la puissance qui me soulève et ...

... m'amène de force.

Je m'affole soudainement : « Qui êtes-vous? Laissez-moi tranquille ! Je suis le propriétaire de la maison... »

J'arrive tout juste à distinguer deux garçons d'une vingtaine d'années en maillot de bain. A première vue, ils sont bien bâtis et particulièrement musclés. L'un d'eux est tatoué sur plusieurs endroits du corps, regroupant des motifs très variés dont certains sans grande originalité, comme si l'artiste avait voulu s'entrainer sur sa peau. L'autre arbore un seul tatouage sur l'épaule, beaucoup plus travaillé et représentant une femme légèrement dénudée qui ressemble étonnamment à Paméla. J'essaye de me débattre mais ils sont bien trop costauds pour moi. Ils me sortent du débarras et me traînent ainsi en ricanant. La peur commence à m'envahir pour de bon. Je prie pour que ce ne soit pas des cambrioleurs et j'espère surtout qu'ils ne feront pas de mal aux filles.

Nous arrivons sur la terrasse lorsque l'un des garçons annonce d'une voix forte : « Oh les filles, on a trouvé un deuxième gros cochon ! Regardez comme il bande bien dans son short ! »

Tout le monde éclate de rire tandis que je me mets à rougir. Les deux balèses me font agenouiller face à Paméla qui redresse aussitôt sa chaise-longue pour la mettre en position assise. Manuela reste dans l'eau mais se rapproche du bord avec un sourire amusé.

« Allez gros cochon, me signifie le même garçon, demande pardon à sa majesté Paméla. Excuse-toi d'avoir osé bander pour elle ! »

Je me ...