-
Salon de coiffure pour dames
Datte: 26/12/2025, Catégories: #collaboratif, #personnages, fff, coiffure, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: ClubAA, Source: Revebebe
... l’ai quelques fois feuilleté dans la librairie, après m’être assurée n’être vue par personne. J’imagine toujours, ce libraire libidineux fermer discrètement sa boutique, s’approcher par-derrière, me saisir les fesses et me susurrer à l’oreille : « Alors, qu’est-ce qu’elle lit cette salope ? Elle n’a pas honte ? Elle mérite une punition ! ». Il pourrait soulever ma jupe, baisser ma culotte sur mes chevilles, et me fesser longuement. Puis il m’allongerait sur un étal après avoir écarté les piles de livres, il me pénétrerait sans ménagement et me besognerait vigoureusement. — Madame de Kergariou, c’est votre tour. Je sursaute. Gudrun m’invite à gagner le fauteuil de coiffure. Ou bien, ce mystérieux expéditeur, se pourrait-il que ce soit Moussa, le jardinier du petit square du quartier ? Il me coincerait dans la cabane où il range ses outils, avant d’exhiber devant moi un sexe énorme. Je le supplierais alors de me laisser « lui sucer la queue », ce sont les mots que j’utiliserais, comme dans les vidéos. Avant qu’il ne me trousse et m’honore dans ce lieu exigu, debout, les deux mains plaquées contre la paroi. Mais je divague complètement. À quoi en suis-je réduite ? Quelle déchéance… ! Pour reprendre l’expression de ces femmes dans ces vidéos immondes « j’ai ma culotte toute mouillée ». Sous mon tailleur gris, j’ai délaissé, comme de plus en plus souvent ces derniers temps, mes collants chair pour des dessous commandés sur internet, que je ...
... qualifierais de « dessous de prostituées ». Ainsi, je reste d’apparence respectable, mais sous mes vêtements, je suis la pire des catins, la pire des traînées, des dessous au-dessous de tout, quoi. Cela me fait un effet très particulier. — Gudrun, vous devez bien avoir une idée de qui vous a envoyé cette horreur ? — … — Non ? Vraiment pas ? Vu les termes et le ton, c’est forcément quelqu’un que vous connaissez… J’en suis persuadée. Alors que les mains de Gudrun s’affairent sur mes cheveux, mon imaginaire se remet en route. Je suis nue sur un lit, les poignets et les chevilles attachées. J’ai aussi les yeux bandés. Autour de moi, il y a plusieurs hommes qui échangent. J’ai très peur. Qui sont ces gens ? Des tueurs psychopathes en série et en groupe ? Des rançonneurs ? Que va-t-il m’arriver ? J’entends d’abord seulement des bribes de conversation. Je distingue quelques « Belle salope » ou encore « J’aime ce genre de pute ». Je ne vois rien, mais dans mon affolement, il me semble reconnaître certaines de ces voix. Je n’en suis pas certaine, mais il y a là, Monsieur Sacavin, un des parents d’élèves de l’association. Et aussi Monsieur Lescroc, de l’agence immobilière du bout de la rue, qui n’a pas forcément la meilleure réputation dans le quartier. Et… Je ne peux y croire ! Le Père Ponce. Pas lui ! C’est impossible ! Je n’ai plus toute ma raison ! M’ont-ils droguée ? Forcée à ingurgiter cette substance dont on parle dans les médias, la drogue des violeurs ! Grand Dieu ! C’est ...