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Salon de coiffure pour dames
Datte: 26/12/2025, Catégories: #collaboratif, #personnages, fff, coiffure, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: ClubAA, Source: Revebebe
... grande répugnance encore à dire que, depuis, lorsque je suis seule à la maison, je fais un usage de ces sites quasi quotidien. Je suis surtout intéressée par ces vidéos de femmes, livrées à un ou des mâles. Je préfère même livrées à « des ». Cela me met dans tous mes états, je dois bien l’avouer. Je perds totalement le contrôle de moi-même et j’en suis réduite à commettre le péché de chair, sous la forme de l’acte de masturbation. Quelle honte ! Voir ces créatures entre les mains de mâles libidineux, livrées, pratiquer des actes sexuels plus que licencieux, dégradants, comme la fellation, ou pire et complètement contre nature, comme la sodomie, brrrr… Je n’oublie bien évidemment pas de nettoyer consciencieusement l’historique de navigation après usage. Voilà où j’en suis de ma déchéance. Pire encore, j’ai de plus en plus l’envie, le besoin de plus en plus prenant, de sauter le pas, et d’être non plus seulement spectatrice, mais aussi actrice et de participer moi-même à ces débauches. Pour le moment, je réussis à résister, mais je vois bien que ma volonté s’effrite et l’appel du stupre et de la luxure se fait de plus en plus pressant. Certes, une femme dans ma position, bonne épouse et mère de famille, ne devrait pas. Mais c’est plus fort que moi. J’en suis arrivée à me dire que de le faire… eh bien, peu importe, personne n’en saura jamais rien. Vous comprenez donc que la lecture de cette lettre… horrible… m’a toute tourneboulée. Mon problème, au-delà ...
... d’être seulement moral, est aussi pratique. En effet, comment procéder ? J’ai bien consulté des sites de rencontres, pour voir comment cela se déroulait, mais sans oser créer un compte. Mais, je reprends la narration de mon histoire. Donc, je viens de découvrir la teneur de la fameuse lettre dans le salon de coiffure de cette femme à fort accent germanique et ma première réaction, après la surprise, est d’être outrée. Quelle honte ! Puis, assise à attendre mon tour, plus j’y pense, plus je me dis que c’est peut-être l’opportunité que j’attends. En y songeant, cette lettre est la solution ! Je ne peux pas laisser passer cette chance. Qui a pu écrire ça ? Forcément quelqu’un qui connaît cette Gudrun. Un habitant du quartier, c’est obligé ! Mais surtout un pervers. Quelle horreur, un pervers dans notre quartier ! Puis l’évidence s’impose à mon esprit : malgré le côté subversif, un pervers, c’est grosso modo le style de personnage que je recherche… Je vais devoir questionner Gudrun quand elle s’occupera de moi, pour savoir si elle sait qui cela peut bien être. Oh mon Dieu : je n’arrête pas d’y penser. Qui ? Peut-être le libraire sur l’avenue. J’ai toujours trouvé qu’il avait un regard vicieux. Cette façon qu’il a de regarder, de dévisager plutôt les femmes… Je l’imagine me surprendre en train de consulter discrètement quelques pages des 11 000 verges de Guillaume Apollinaire, ouvrage que je meurs d’envie de lire, mais que je n’oserai jamais acheter. Je ...