1. C04 - L'actrice s'abandonne


    Datte: 16/12/2025, Catégories: Fiction de Fans & Célébrités, Auteur: APVapv, Source: Literotica

    ... gratta les croûtes de cire collées au corps de Margot. D'abord les seins, puis les fesses pour finir par le ventre.
    
    -- Viens. C'est toi que je veux, ce soir.
    
    Le timbre bas et implacable d'Eva ne souffrait aucune contestation. Le cœur battant à ses tempes, la grande blonde suivit la Dominatrice jusqu'à une salle plus petite, isolée, aux murs tendus de tissus sombres. Au centre, un large tatami couleur crème, immaculé, attendait. Une dizaine de personnes, hommes et femmes, assis en cercle sur des coussins bas, observaient déjà la scène avec une attention glaciale.
    
    Sous les spots tamisés, un homme en kimono noir, le visage barré d'un loup de cuir, se tenait prêt. Le Maître japonais du shibari. Eva s'approcha de Margot.
    
    -- Laisse-toi faire pour moi.
    
    La blonde se tenait nue sous les regards avides, sa silhouette parfaite s'offrant sans filtre : la taille délicatement marquée, les hanches pleines, le ventre plat frémissant sous l'émotion. Sa poitrine fière, galbée et naturellement soutenue, se tendait vers les spectateurs, les pointes rosies sous l'excitation et l'appréhension mêlées. Son fessier haut et musclé, satin tendu sur une chair ferme, semblait appeler les caresses comme les morsures. Ses longues jambes fuselées, légèrement écartées, trahissaient son trouble profond.
    
    Le Maître attacha alors d'un geste précis la masse soyeuse de ses cheveux blonds en une queue haute, tirée fermement. Margot sentit le cuir du lien mordre sa nuque, imposant d'emblée une ...
    ... posture offerte.
    
    Il l'amena lentement au centre du tatami. Elle sentit les premières cordes de chanvre glisser sur sa peau, râpeuses, enserrant ses poignets derrière son dos. Chaque mouvement du Maître était mesuré, sensuel. Ses doigts se posaient sur son corps, le guidaient, l'imprégnaient de cette sensation de captivité délicieuse.
    
    Ses seins furent méthodiquement entourés, cernés de lignes croisées qui les pressèrent, les rendant plus fiers, plus sensibles encore. Extrêmement gonflés. Margot gémit doucement quand les cordes effleurèrent la base de ses tétons durcis.
    
    Puis ses jambes, croisées au sol, furent nouées de la même manière. Chaque ligature semblait réduire son monde au pur langage du corps. Elle n'était plus qu'une statue de chair offerte, prisonnière consentante de ces liens impitoyables.
    
    Eva approcha alors.
    
    Du bout de ses gants verts, la brune caressa lentement les courbes ligotées de Margot. Une caresse presque clinique, comme on effleurerait un trésor rare. Son doigt glissa le long du creux de la taille, remonta sur la face interne des cuisses nouées, suivit la ligne parfaite du sillon fessier, arrachant un frisson incontrôlable à la captive.
    
    Puis, lentement, le Maître enclencha la suspension. Margot sentit son corps s'élever, centimètre par centimètre. Son buste fut maintenu droit par les cordes, sa poitrine gonflée à l'excès, exposée à tous les regards. Ses jambes furent écartées ensuite par un jeu de cordes et maintenues complètement ouvertes, ...
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