1. C04 - L'actrice s'abandonne


    Datte: 16/12/2025, Catégories: Fiction de Fans & Célébrités, Auteur: APVapv, Source: Literotica

    ... son sexe rosé et luisant désormais offert, béant, aux spectateurs silencieux.
    
    Le souffle coupé, la beauté oscillait doucement, vulnérable, chaque fibre de son corps vibrante d'une attente insoutenable.
    
    -- Laisse-toi aller. Respire avec moi, souffla Eva d'une voix ferme, à son oreille.
    
    Margot ferma les yeux, tentant de chasser la honte qui la submergeait. Mais la sensation des liens, de l'exposition totale, des regards brûlants sur son intimité la poussaient vers un abandon sans retour.
    
    Un premier homme s'approcha. Grand, musclé, visage masqué. Il se plaça entre ses cuisses écartées, son souffle chaud caressant son sexe trempé. La langue plongea sans sommation, explorant chaque pli. Margot suffoqua, tira contre les cordes sans espoir, son corps pris d'une fièvre grandissante. Ses seins ligotés se soulevaient au rythme de ses halètements. Ses hanches tentaient de suivre le mouvement de la bouche avide. La honte se mêlait à un plaisir sauvage, incontrôlable.
    
    Deux doigts pénétrèrent son intimité moite et jouèrent avec les parois de son vagin. La langue lapait le bouton. Sous les regards des spectateurs, Margot sentit des frétillements dans ses hanches et son sexe. Quand la jouissance la saisit, brutale, irrépressible, elle cria sans pudeur, secouée de spasmes pendue entre ciel et sol.
    
    À peine le premier homme se retira-t-il qu'un autre le remplaça. Celui-ci ne perdit pas de temps : il écarta plus encore ses cuisses, se positionna contre elle, et dans un ...
    ... mouvement ferme, la pénétra. Margot gémit, le corps arqué, tendu contre les liens. La verge dure avait envahi sa chatte d'un seul trait. Les coups de reins se firent de plus en plus violents, le sexe dur frottant contre les parois brûlantes de sa chair offerte.
    
    Suspendue ainsi, incapable de se protéger ni de refuser, Margot se laissa emporter dans une seconde vague de plaisir mêlée de honte aiguë. L'homme jouit avec un grognement, déversant sa semence sur son ventre tendu et ligoté. La blonde n'était plus qu'une poupée pantelante, offerte, souillée, pantelante. Eva s'approcha alors, caressant doucement les cheveux tirés de la captive, ses lèvres à son oreille :
    
    -- Aimes-tu, soumise?
    
    Margot, les larmes aux cils, le ventre encore contracté de spasmes résiduels, souffla dans un souffle brisé :
    
    -- Oui, Maîtresse.
    
    Le cercle resta figé dans un silence lourd. Avec une lenteur infinie, Eva entreprit alors de la délier. Chaque nœud défait semblait prolonger le lien invisible qui unissait désormais la Dominatrice à sa soumise.
    
    Margot fut ramenée contre le sein tiède d'Eva, lovée comme une enfant épuisée. Les doigts gantés parcouraient lentement son dos, sa nuque, son fessier meurtri. Des mots doux, chuchotés, l'enveloppaient.
    
    -- Tu as bien offert ton corps. Tu es belle ainsi, ma petite Barbie.
    
    Margot ferma les yeux. Elle venait de basculer. Définitivement.
    
    Le lendemain, le grand salon accueillait un nouvel atelier. Les stagiaires, à demi nues, assises à même des ...
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