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Les étés de Charlotte Ch. 03
Datte: 15/12/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: cinolas, Source: Literotica
... déplacements ! Vous comprendrez qu'après avoir passé cette très longue après-midi sous les effets ravageurs du baume je suis aussi tendue que la ficelle du string minimaliste de l'opulente employée du rayon charcuterie perdu dans son surplus de graisse. Mes sens ont été mis à rude épreuve et mes zones érogènes affichent encore fièrement cette folle excitation qui taraude mon centre à plaisir. J'ai même du lutter comme une folle, lors de mon dernier créneau à la caisse, contre d'intenses bouffées de chaleur qui m'envahissaient très régulièrement et cette envie dévorante de filer me réfugier dans les toilettes du magasin pour libérer cette insoutenable tension d'un furieux doigt salvateur sur mon organe à plaisir. Je n'arrivais d'ailleurs plus à réfléchir à la fin et passais les courses comme un véritable robot. Lorsqu'à peine arrivée dans son bureau à la fin de ma journée, Thrucck me demande d'un ordre sec de passer en tenue d'Ève, je découvre sans surprises mes tétons turgescents pointant fièrement à l'horizon et mon clito gonflé à outrance de plaisir. Ma petite culotte dégoulinante de mouille laisse imaginer honteusement l'état de mon entre jambes. Après l'avoir reniflé quelques secondes et constaté les dégâts occasionnés par le baume perfide, Thrucck me la fourre sans ménagement dans la bouche. C'est la première fois réellement que je goutte à mes effluves et que je découvre mes odeurs intimes. Mon shorty complètement trempé remplit rapidement mon palais d'un ...
... fumet très marqué d'une mouille ayant mariné pendant de longues heures. Je résiste à l'envie de recracher ce bout de tissus aux parfums agressifs et écœurants et place comme maintenant à chaque fois mes mains derrière ma tête et écarte mes jambes. Thrucck ne me laisse pas le temps de m'éterniser sur mes malheurs gustatifs. Il a attrapé son pot à malice et d'une main énergique, sans la moindre once de délicatesse, badigeonne généreusement toutes mes zones à plaisir. Il insiste quelques instants sur mes parois internes et déclenche un honteux et incontrôlable mouvement de bassin de ma part à la recherche des effets de sa main. Mais ce salaud ne veut pas me soulager et ne s'éternise pas dans ma craquette en chaleur. J'enrage presque à la fuite de son battoir le traitant de lâche. Il m'allonge ensuite sur le sol de son bureau. Dans cette belle chaleur d'été, le carrelage me fait légèrement frissonner. Il attache, d'une corde solide, mes mains au-dessus de la tête au pied de l'un de ses fauteuils canapé puis se charge de mes pieds qu'il fixe écartés au maximum à une épaisse barre en bois avant de la relier aux pieds de son bureau. Ainsi positionnée je n'ai plus aucune marge de manœuvre et suis, peut être pour mon malheur, à son entière disposition. Je n'ai pas vraiment réagi à ce saucissonnage me laissant diriger comme une poupée de chiffon sous ses ordres. La cravache qui a martyrisé les fesses d'Amélie a été discrètement accrochée à l'une des étagères qui supportent ses ...