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Les étés de Charlotte Ch. 03
Datte: 15/12/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: cinolas, Source: Literotica
... moment lorsque celui-ci avait la cravache en main. J'aperçois ses yeux encore rougis par les larmes et les traits de son visage tirés par les douleurs provoquées. Son t-shirt moulant a été remonté et écrase la base de ses seins juste sortis de leur balconnet. Elle a, comme moi, une poitrine bien développée, ce qui semble être un fil rouge chez ce détraqué sexuel de Thrucck. Mais si j'avais pu être vraiment jalouse de son fessier de concours et du galbe de ses jambes, je n'envie pas du tout les deux mamelles pendantes et sans tenue qu'elle arbore. Je préfère nettement les miens, bien plus ferme, aux courbes bien dessinées et qui défient fièrement l'horizon. Oui je sais j'ai des fois les chevilles qui gonflent ! Tout en gardant ses mains sur la tête, elle trottine jusqu'à moi à petits pas tel un canard à cause de son pantalon sur les chevilles. Thrucck m'indique d'un index autoritaire l'un de ses fauteuils canapé et m'ordonne de poser mes jambes sur ses accoudoirs. Dans cette position je suis ouverte au monde et j'ai le sexe aussi exposé que le faciès de Mona Lisa ! Je mets mes mains derrière la tête comme sa règle à la con l'exige et attends ! Amélie s'agenouille devant moi, elle pleurniche. Elle tourne la tête vers son patron et d'en regard de chien battu l'implore une dernière fois. Il se lève et va prendre la cravache. Il fait ensuite supporter à l'angle de son bureau le demi-quintal de sa fesse droite tout en jouant avec l'objet de torture. Je ne comprends pas ...
... tout. Je suis spectatrice d'un enjeu qui me dépasse et je décide de fermer ma grande bouche. Ma curiosité pourrait être mal venue et avoir de fâcheuse conséquence. Résignée Amélie me fait à nouveau face. Elle regarde avec dégoût mon sexe puis relève la tête. Nos regards se croisent pendant de longues secondes, ses lèvres tremblent. Je la sens effrayée par la suite des événements ! Le coup de cravache qui retentit contre le bureau nous fait sursauter toutes les deux. À ce simple rappel, elle plonge la tête dans mon entre jambes et commence par d'infimes coups de langue à lécher les contours de mon centre à plaisir. Cela me fait presque plaisir de voir que je ne suis pas le seul jouet sexuel de ce pervers narcissique. S'il pouvait se défouler sur elle plus souvent cela me ferait des vacances. - Tes mains Amélie, grogne le boss. À ce rappel de la consigne, elle les met dans son dos et repart à l'assaut de mon nid d'amour uniquement avec sa bouche. Ce doit être une première pour elle, car elle n'est vraiment pas très douée. Son dégoût est visible et j'imagine la torture mentale qu'elle doit affronter pour venir lécher mon mont de vénus. Je la partage presque cette torture n'ayant également de mon côté aucun attrait pour l'amour entre femmes. Mais je suis du bon côté de la barrière et même si je n'apprécie pas le contact d'une langue féminine sur mon intimité, je ferme mon clapet et me la joue passive, docile, diplomate. Je ne veux pas par quelques mots déplacés attiser ...