Les étés de Charlotte Ch. 03 - Histoires de Sexe

Les étés de Charlotte Ch. 03

... rapide de la machine à baffes, je me suis exécutée sans rechigner pour me retrouver quelques instants après le chemisier déboutonné, la poitrine sortant du soutif et le pantalon accompagné du shorty sur les chevilles, j'avais été au plus pressé !

Sans attendre, il a attrapé un gros pot tout blanc sans étiquette et commencé à me badigeonner les zones sensibles de son onguent inconnu comme toujours sans aucune délicatesse. S'il voulait m'appendre à devenir une vraie pute, dixit lui-même, je lui apprendrais bien de mon côté à être un vrai gentilhomme, simple échange de service ! Tout y est passé, de la pointe de mes tétons, en passant par mon clito, ma corolle, mon sexe et même les lèvres de ma bouche.

Il m'a ensuite caressé le minou pendant quelques minutes pour bien faire pénétrer sa crème vicieuse jusque dans les recoins les plus cachés, ajoutant une dose généreuse au besoin pour mes parois internes. Puis satisfait, il m'a renvoyé d'un claquement de doigts à mes chères études.

C'est une petite demi-heure après avoir ouvert ma caisse que les premiers symptômes sont apparus. Simples picotements au départ, légers gonflements ou encore petites bouffées de chaleur ont perturbé ma tâche. Je ne comprenais d'ailleurs pas trop au début les causes de cette excitation alors que ma libido était au point mort.

Nous avons le droit lorsque nous sommes en caisse de faire de petite pause d'une petite quinzaine de minutes toutes les deux heures. C'est bon pour la concentration ...

... dit-il et on est plus performante soi-disant. J'avais ordre de pointer mon popotin fissa dans son bureau lors de chacune de mes pauses. Il en a profité à chaque fois pour renouveler son très généreux massage dans toutes mes parties érogènes. C'est moi qui devais par contre me caresser ensuite le sexe pendant sept ou huit minutes avant de retourner bosser. Mais attention, si mon doigté devait être intensif pour mettre en émois ma cage trésor, j'avais ordre de ne pas jouir, sinon la fessée ... bref je ne vous détaille pas les risques encourus !

Après la première pause, les effets du baume furent bien plus rapides et surtout bien plus importants. L'excitation est montée d'un cran et les conséquences avec. Les fortes bouffées me submergeaient, ma culotte s'humidifiait sans permission et mes seins pointaient comme jamais pour dire bonjour à chaque client, de quoi perturber la plus expérimentée des caissières !

Après la seconde ce fut pire encore, j'avais évité de justesse de prendre mon pied et mon cerveau avait eu du mal à réintégrer mes fonctions à la caisse. J'étais à moitié en sueur, l'entre jambes limite inondée, gonflée de partout, en quête d'un plaisir qui m'échappait. J'étais à la fois en colère contre ce rustre qui m'enduisait de crème et presque impatiente de retourner le voir pour enfin avoir le droit d'exploser et d'atteindre mon nirvana. Heureusement ma blouse était longue et permettait de cacher l'auréole naissante à l'entre jambes de mon jean lors de mes ...