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Les étés de Charlotte Ch. 03
Datte: 15/12/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: cinolas, Source: Literotica
... trophées. Impossible de passer à côté. Je n'ai pas vraiment envie de tester les limites de Thrucck et de goûter à cette vile badine. Il me laisse ainsi quelques instants, dubitative sur la suite des événements, puis revient en tenant dans ses mains deux objets particuliers. Celle de gauche est en train de régler le petit vibro au puissant ronronnement alors que celle de droite arbore un imposant plumeau en plume d'autruche marron foncé. Lorsque la fréquence du vibro lui convient, il décalotte mon généreux clitoris et le place à proximité. Il n'en fallait vraiment pas autant pour lui redonner vie. Il sort ensuite de sa poche trois petites pinces métalliques argentées à peine plus grosses qu'une pince à linge et les poses sur mon ventre. Il a aussi rapatrié le pot de crème. Alors que le décor semble planté, il relève sa carcasse et va quérir un reste de cigare qui traîne dans son cendrier. Il l'allume, presque nerveusement, et contemple son œuvre comme s'il manquait une petite touche finale au tableau. Après avoir tiré quelques bouffées sur son bâton à cancer et rempli, malgré l'une des fenêtres grandes ouvertes, la pièce d'une épaisse fumée écœurante, il revient devant mon corps immobile le plumeau agité. Il teste d'abord ses effets sur ma poitrine, heureusement je ne suis pas chatouilleuse, puis le balade sur le reste de mon corps. La légèreté des plumes titille mes sens. Elles frôlent, caressent, émoustillent, agacent et ravivent toutes mes chairs en tension. Il ...
... alterne avec le vibro sur les zones les plus sensibles pour des émotions plus appuyées. Son jeu de mains me ramène très rapidement au bord de l'orgasme. Il freine ses ardeurs lorsqu'il me voit au bord du gouffre, prend une des pinces et en décore mon téton droit. Elles sont beaucoup plus puissantes que les simples pinces à linge et la douleur est sans appel ! Mon mamelon encaisse la souffrance et je lâche la mienne dans mon bâillon. L'effet est immédiat, ma libido prend ses jambes à son cou et part se réfugier au fin fond de mes entrailles. Il me laisse profiter de mon agresseur quelques instants, le temps que je remette les pieds sur terre. Puis sentant mon excitation retombée au plus bas, il retire la pince et me déclenche un nouveau cri de douleur déclenché par l'afflux sanguin. Le ballet vibro / plumeau reprend de plus belle et fait progressivement, mais sûrement remonter l'excitation. Il joue avec mes nerfs, attise des zones déjà rendues hypersensibles sous l'effet du baume, capte l'attention de mon clito tendu comme jamais, enchante mes deux auréoles gonflées de plaisir et fait craquer mon jardin d'amour qui coule comme une fontaine. C'est mon sein gauche qui cette fois à l'honneur, car je ne peux décemment pas parler ici de plaisir, d'accueillir son engin de torture. Même cause, même résultat ! Je redescends prestement de la fusée qui était sur le point de me mettre sur orbite. J'insulte ce salaud et son jeu castrateur, chouine dans mon bâillon les plus basses ...