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Les étés de Charlotte Ch. 03
Datte: 15/12/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: cinolas, Source: Literotica
... débite en me défonçant la rondelle comme un porc, mais selon lui mon petit cul délicieusement serré et étroit vaudrait tout l'or du monde. Malgré les souffrances qui me tiraillent sans cesse, j'en prends note pour le lui lancer à la figure lors de mes prochaines négociations salariales ! Cette première expérience est interminable et j'ai le pot qui crie à l'infamie, à l'envahisseur, à l'assassin et qui réclame depuis un bon moment l'arrivée des secours pour le remettre en forme. Lorsqu'après une bonne demi-heure de balade et d'exploration son chibre, d'un plot indélicat, libère mes entrailles après avoir lâché bien au fond de ces dernières une copieuse dose de son stock de spermatozoïdes, c'est une véritable jouissance qui illumine mon visage. Ne vous y trompez pas je ne viens pas d'avoir la révélation du siècle ni de tomber amoureuse de cette route de derrière. C'est juste la joie ressentie à l'annonce de la fin de ce calvaire qui me fait réagir si expressivement. Après la sortie de son engin, mes fesses continuent, comme la carpe sortie de l'eau, à s'ouvrir et à se refermer toutes seules. Recherche-t-elle le chibre inquisiteur? Thrucck me laisse à mon désarroi et à mon mal de cul pendant quelques minutes, le temps pour lui je suppose d'aller remettre un peu d'ordre dans son service trois-pièces. À son retour il caresse un peu mon prose comme tout bon maître des lieux et finit par me rendre toute ma liberté de mouvement. À peine déliée, je m'affaisse comme une ...
... chiffe molle sur le sol épuisée. Cette fois c'est moi qui prends le temps de récupérer, enroulant le coussin de mes bras à la recherche d'un petit moment de calme. Thrucck respecte mon petit moment de solitude. Il a bien du noter à mes couinements répétés et à mon visage tiraillé que le voyage n'avait pas agréable pour tout le monde. Au bout d'un moment il me retourne et recommence à jouer avec mon sexe et son baume enjôleur. Toujours allongée, mais maintenant sans lien, je le laisse faire, un peu entre deux eaux, finissant de récupérer de cette agression de mon entrée des artistes. S'il croit que je vais monter à l'arbre alors que j'ai le popotin qui hurle à la mort il se fourre le doigt dans l'œil. Après avoir redonné vie à toutes mes zones érogènes, il me relève et me traîne devant la table basse face au canapé. Il m'agenouille, met mes mains derrière ma tête et part récupérer un reste de havane qui pavoisait depuis le début de la soirée dans le cendrier de son bureau avant d'affaler ses presque deux quintaux sur les ressorts résistants de son grand canapé. Je redeviens un spectacle ! Malgré mes genoux bien écartés, j'ai un peu de mal à tenir ma position, j'ai les jambes qui flageolent encore après cet intense marathon de l'arrière-train. Lui vient d'allumer son gros cigare qui remplit rapidement une nouvelle fois la pièce d'une épaisse fumée nauséabonde. Il me regarde d'un œil jouissif me trémousser en tétant régulièrement sur son barreau de chaise. Eh oui, car ...