Les étés de Charlotte Ch. 03 - Histoires de Sexe

Les étés de Charlotte Ch. 03

... comme je suis je peux tout juste gigoter du popotin pour échapper au gland inquisiteur. La seule arme qu'il reste à ma disposition est de fermer les écoutilles et de lever des barricades. La encore la lutte va être difficile, sa crème à généreusement lubrifié le conduit et il va falloir que je bataille dure pour résister.

Lorsque son chibre vient tutoyer une nouvelle fois ma corolle, j'ai beau serrer des fesses, je sens que le combat est presque perdu d'avance. Thrucck reste d'un calme olympien, il sait qu'il a tout son temps et qu'il finira par venir à bout de ma résistance. Il pousse, dilate, assouplit, apprivoise, éduque, dompte, domestique mon fondement pour le rallier à sa cause, à sa quête de recherche du plaisir absolu.

À force de patience et de persévérance, il finit par vaincre et prendre possession de mes intestins. Mon cri de douleur lâché lors du passage de ce gros gland fait écho à son cri de victoire. Si cette première partie de la mission s'est, malgré la douleur finale, passée plutôt en douceur, la seconde va être un peu plus trash. Oubliant le peu de manières d'homme du monde qu'il avait, l'esprit très certainement perturbé par cette première bataille gagnée, Thrucck m'enfile les vingt derniers centimètres de son chibre en seulement deux coups de bassin violent !

Cette fois mon bâillon ne suffit pas pour retenir toute ma haine lâchée au monde sous cette atroce douleur. Je couine comme une folle et quelques larmes envahissent mes yeux ! Je sens ses ...

... couilles contre mes fesses m'indiquant que tout son braquemart a trouver place dans mon étroit conduit. Thrucck savoure ! En restant collé bien au fond il taquine mes tétons, doigte un peu ma boîte à trésor et repasse dire bonjour à mon clito. Malgré toutes ces civilités, ma libido est allée s'enterrer au fond du jardin ! Comment peut-on apprécier ça?

Après ces quelques instants de pause pour me permettre de récupérer et de m'acclimater à l'envahisseur, Thrucck entame quelques petits coups de collier tout en douceur pour redonner vie à mon fondement. Cette phase de découverte est assez courte et lorsqu'il sent que ma corolle donne des signes d'un léger relâchement, il passe la vitesse supérieure pour lui faire profiter de toute la longueur de sa hampe et redémarrer mes vocalises de douleur.

Il a le rythme varié, passant par quelques courtes chevauchés endiablées qui me font chauffer la rondelle à outrance et couiner derechef comme une folle, quelques passages langoureux pour faire redescendre son rythme cardiaque et mes douleurs intestines, quelques arrêts bien au fond de la grotte pour faire chuter la pression lorsque son dard montre des signes de jouissance en approche. Il s'aventure même parfois à prendre carrément l'air pour tenter de venir rechercher à la source de mon sexe un peu de lubrifiant naturel même si ce dernier est en grève pour cause de revendications d'un proche collègue.

Je ne vous fais pas saigner les oreilles avec toutes les insanités qu'il me ...