1. Le Déluge 01


    Datte: 05/12/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: marco_solo, Source: Literotica

    ... temps qu'il ne fallait pour le dire par le déluge extérieur. Lisa s'était soumise sans la moindre résistance, je me demandais jusqu'à quel point cette expérience ne rencontrait pas certains de ses fantasmes.
    
    Je passai ma tête sous le visage de Lisa, entre les cuisses de bonhomme. Ses couilles étaient odorantes. Je supposais que sa bite ne devait pas l'être moins. J'entendais les déglutitions de Lisa, ses lapements. Je me demandais si elle s'appliquait, si elle était dégoûtée ou bien si à force de s'appliquer, elle se plaisait à se retrouver ainsi, car je ne sentais plus aucune réticence de sa part. Quant à moi, je ne prenais aucun plaisir à lécher et sucer les burnes du type, mais je ne pouvais m'empêcher de trouver quelque chose d'attirant à la situation dans laquelle nous nous trouvions. C'était ignoble, mais c'était ainsi.
    
    Finalement je sentis le mec vibrer, ses couilles ressemblèrent à un siphon qui laisse passer l'eau d'un évier qui se vide. Le type repoussa Lisa tout en maintenant son visage proche de sa queue pour lui éjaculer sur la figure. « Aspire ce qui reste! lui ordonna-t-il. » Lisa lui pompa le gland, formant un cul de poule avec sa bouche. « Ah, putain! t'es bonne, oui t'es bonne! approuva le type. »
    
    Sa sœur nous ramena au crochet mural de la même manière qu'elle nous avait amenés à son frère, comme Dixie et Pixie chiens de la famille, car je supposais que c'étaient de vrais chien et chienne.
    
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    J'étais donc Dixie et Lisa était Pixie, ...
    ... Chris, la sœur, nous avait renommés ainsi.
    
    Ce n'était pas qu'un changement d'appellation, c'était un changement de comportement. Nous étions des chiens désormais, et nous devions nous comporter comme tels. Totalement et exclusivement. Et ce n'était pas un vain mot. C'était un vrai dressage douloureux. Cette femme était folle. Aussi folle? Plus folle que son frère, Ray? Peu importait. Elle était vraiment dingue.
    
    Cette fratrie bizarre était à la tête d'une ferme qu'ils avaient récupérée. On ignorait de qui et comment et ils avaient obtenu un reste de troupeau en sus. Avec pour guider ce troupeau, des bâtons électriques qu'ils avaient trafiqués en arme de défense. Et de dressage douloureux dans notre cas. La femme nous refilait des décharges d'intensité modulable dans les parties sensibles pour s'assurer de la conformité de notre comportement avec ses desiderata. Lesquels étaient très simples: être et agir en chiens. Pas comme, mais en. Nous remplacions ses clébards. Entre la menace de son fusil et les incitations de son bâton électrique, nous n'avions pas moyen de faire autrement. Mais dans cet exercice, nous étions loin de donner satisfaction. On bouffait, bâfrait plus exactement, dans des gamelles posées à même le sol. Parfois elle nous jetait quelques restes par terre qu'elle nous obligeait à engloutir. Sans utiliser nos mains. Pareil pour l'eau. Elle la laissait croupir dans des écuelles, et nous forçait à vider les récipients en lapant avant de les remplir d'eau fraiche. ...
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