Le Déluge 01 - Histoires de Sexe

Le Déluge 01

... Nous avions tenté de refuser, nous rebeller. Ces désobéissances nous avaient valu des électrocutions de la vulve et des burnes, suivies par des incitations moins violentes mais répétées dans les fesses pour nous inciter à la soumission. Il suffisait d'entendre les commentaires dont Chris accompagnait chacune des piques électriques sur nos culs pour comprendre le plaisir qu'elle prenait à nous dresser à sa guise de cette façon.

Il y avait les moments les plus humiliants. Ceux où nous devions nous soulager. Nous exprimâmes directement et clairement notre besoin d'aller aux toilettes. Chris nous signifia l'interdiction formelle de l'usage de la parole à cette occasion. Lisa tenta de discuter cette décision, ce qui lui valut une très forte décharge électrique sur les seins d'abord. Et, comme elle se tordait de douleur en se roulant sur le sol alors que Cris lui ordonnait de se remettre à quatre pattes, Lisa reçut une seconde décharge sur la vulve.

— Continue! l'encouragea son frère. Ça m'excite.

Il se branlait en regardant ma femme se tordre sur le sol qui se frottait les seins et les grandes lèvres pour tenter de faire passer la douleur.

— Ma parole, elle va finir par jouir à force de se branler comme ça, cette chienne, ricana le frère.

— Pixie! Tu vas obéir à ta maîtresse à la fin! beugla la sœur en lui envoyant une décharge dans le cul.

La chaîne qui reliait nos cous nous laissait une marge d'un mètre environ. Je devais suivre les mouvements désordonnés de ...

... Lisa, mais j'éprouvais les pires difficultés. La femme appliqua une nouvelle décharge électrique dans l'entrejambe de ma femme. Celle-ci ne put plus se retenir, elle lâcha un jet d'urine qui mouilla ses cuisses avant de s'écouler sur le sol.

— Salope! cria la sœur. Je vais t'apprendre grosse cochonne!

La femme lui appliqua une nouvelle décharge électrique sur la vulve. Mais il est probable que l'humidité de l'urine amplifia et diffusa les effets de l'électricité, Lisa hurla et ne put se retenir de pisser abondamment et à grands flots. Chris stoppa l'électrification juste à temps et retira son bâton trempé d'urine. Lisa semblait ne jamais devoir s'arrêter. Elle comme moi pataugions dans une véritable mare lorsque enfin sa fontaine dorée se tarit. Je sentis quelque chose de visqueux atterrir sur nos visages: le frère se tenait debout au-dessus de nous, la bite à la main et il éjaculait sur nos figures.

Chris nous obligea à lécher le sol jusqu'à ce que toute souillure eut disparu.

Elle nous apporta une grande bassine et nous expliqua que, tant que le temps n'autoriserait pas de balades extérieures, cette bassine serait la zone de confort pour nous soulager de tous nos besoins. Nous nous retînmes autant que possible.

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Le troisième jour, la pluie tomba bien plus fort et encore plus dru. Au bout de trois jours, notre espoir d'un retour à la vie d'avant décrut considérablement tandis que notre soumission s'accrut. Nous commencions à accepter notre état. Nous ne ...