Le Déluge 01 - Histoires de Sexe

Le Déluge 01

... moins que tu lèches bien toi aussi, qui sait? Tiens, j'ai une idée.

Il tendit la chaîne à sa sœur et se dirigea vers une chaise à l'autre bout de la pièce. Il défit la ceinture de son pantalon et le baissa sur ses chevilles, puis s'assit.

— Chris, amène Pixie et Dixie qu'on voit comment ils me lèchent les burnes et la queue.

Sa sœur eut un sourire mauvais.

— À quatre pattes vous deux! C'est le moment de payer votre pension!

Comme on ne réagissait pas, elle nous frappa les fesses avec la longueur de chaîne dépassant de ses mains. Les maillons métalliques nous firent crier d'abord, obéir ensuite. Nous nous aplatîmes au sol.

— Je savais que tu te ferais aussi bien obéir par ces deux nouveaux que par les anciens, approuva le frère. Tu es une experte en dressage!

— Avancez! commanda la frangine.

Nous nous le fîmes pas dire deux fois.

— Y'a un truc de mieux par rapport aux clebs, c'est que ces deux remuent leur cul de manière plus excitante, commenta la femme. Quand tu les vois se dandiner comme ça, t'as qu'une idée: c'est de les empaler.

— T'es pas équipée pour ça, sœurette!

— Y'a des accessoires, y'a des accessoires pour ça!

En les entendant, je pensais que nous étions tombés chez une famille de pervers sadiques. Le frère paraissait tenir ce discours pour s'exciter, car sa bite était bien droite, et il la caressait pour entretenir l'érection tout en nous fixant avec un regard concupiscent. La sœur ne tenait plus de discours moralisateur à ...

... son frère. Même si elle ne pensait pas nous utiliser pour obtenir du plaisir sexuel, elle imaginait bien nous faire subir des sévices en rapport.

— Allez, dépêchez-vous!

La femme nous claqua les fesses d'une main ferme pour nous encourager. Lisa n'était pas pressée de parvenir au but évident de ce périple. Pourtant...

— Tu sais ce que tu dois faire poulette? Mais au cas où, puisque c'est la première fois... Ouvre ta gueule de pute!

Le type lui saisit la nuque d'une main et pressa sur ses joues de l'autre et il enfila la bouche de Lisa sur sa queue plus vite qu'il aurait enfilé une capote. Les yeux de ma femme parurent exorbités. Elle voulut recracher le membre, mais le type la maintint ainsi bâillonnée pendant un moment. Puis il l'autorisa à remonter le long de son dard. Elle toussa, retrouvant difficilement son souffle. Elle se remettait à peine lorsque le type recommença. « Tu aimes? Ça me fait penser au supplice de la baignoire, commenta-t-il. » Il recommença à plusieurs reprises.

— Maintenant, suce, lèche et applique-toi, sinon j'éjacule au fond de ta gorge et je ne te permettrai pas de te retirer. C'est compris, ma jolie pute?

Lisa ne pouvait qu'opiner du chef pour approuver, ce qu'elle fit.

— Et toi, me dit-il, ne reste pas sans rien faire. Occupe-toi de mes couilles. Et sois bon!

Je m'exécutais. Aussi dégueulasses que fussent leurs contraintes, nous n'avions pas d'autre choix que de nous plier à leurs exigences. Nous serions emportés en moins de ...