1. Le Déluge 01


    Datte: 05/12/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: marco_solo, Source: Literotica

    ... faire gober son foutre juste après. Et ça, c'était quand Jarry et lui ne nous pissaient pas dessus et qu'on devait nettoyer consciencieusement comme Ray l'exigeait: « tu vois qu'ils peuvent faire du ménage! pavoisait-il. » Ray et Chris avaient deux manières bien distinctes d'envisager notre dressage. Dans le genre, Jarry avait des goûts plus simples. Mais plus brutaux.
    
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    Les trois premiers jours, nous avions pu retenir nos intestins, car la perspective de les relâcher au-dessus de la bassine nous semblait inenvisageable. Jusqu'à l'arrivée de Jarry. Ses éjaculations sodomiques nous avaient provoqué des effets laxatifs qui nous avaient contraints à nous accroupir de façon canine au-dessus de la bassine pour libérer nos intestins de manière incontrôlée. Jarry s'était étonné de notre position. Chris lui avait répondu que les chiens n'avaient pas encore appris à se servir des WC et que, de ce fait, nous n'avions pas d'autre choix.
    
    — Et pour vider cette bassine? avait Jarry demandé avec une fausse innocence.
    
    — Le responsable la pousse avec le museau jusqu'à la porte des toilettes et je me charge de la vider.
    
    — Tu ne crains pas qu'ils en mettent partout?
    
    — Ils seront punis... et sévèrement! s'était rengorgée Chris.
    
    — Oui... mais les dégâts? À moins que tu ne les rendes coprophages...
    
    J'étais convaincu que Jarry avait appris le dico par cœur. À voir la tronche de Chris et Ray, les copros quelque chose leur évoquaient plus l'habitat que le traitement des ...
    ... déjections. Et ils n'avaient plus d'électricité pour se ruer sur les dicos en ligne d'Internet.
    
    Chris avait résolu notre propreté en nous mettant dehors et nous obligeant à bien exposer nos intimités aux cinglements de fouet de l'orage.
    
    Restait notre avenir... Nous en discutions à voix basse, très basse, durant la nuit lorsque nous étions sûrs que Chris dormait. C'était le seul moment où nous pouvions parler. Mais Lisa avait une autre idée en tête.
    
    Je fus réveillé une nuit par des chuchotements. C'était ma femme, suppliant, implorant Jarry à vrai dire, de l'emmener avec lui lorsqu'il quitterait le chalet. Elle lui promettait d'être sa chienne, son esclave, tout ce qu'il voudrait pourvu qu'il ne l'abandonne pas à ce couple. Elle lui jurait qu'elle lui ferait connaître ce qu'aucune femme ne pouvait accomplir, ni ce que lui n'avait jamais osé imaginer. Je n'en croyais pas mes oreilles. Jamais Lisa ne m'avait parlé ainsi, sur un tel ton. Les séances de dressage et soumission subies depuis ces cinq journées semblaient s'exprimer dans le discours de ma femme. Bien que me sentant trahi et en colère, plus Lisa avançait dans ses promesses de soumission, plus je bandais comme un damné pour ma femme, si tant est qu'elle fût toujours ma femme et non pas une chienne dressée. L'homme montagne ne disait rien, il se contentait d'écouter. L'obscurité et la position des protagonistes m'interdisaient d'observer ses réactions. Était-il indifférent? Bandait-il? Jusqu'à quel point? Après ...
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