Le Déluge 01 - Histoires de Sexe

Le Déluge 01

... Jarry avait changé beaucoup de choses pour nous. Ray l'avait constaté cyniquement après avoir picolé plus que d'habitude ce qui était largement plus que de raison. Ray s'enfilait des bières en sa compagnie et les deux nous enfilaient quand ils décidaient de laisser reposer leur gosier. Mais leur conclusion était évidente: désormais, nous suivions deux types de dressage ce qui avait pour conséquence d'occuper nos journées à plein temps à la lueur des bougies. Car l'électricité avait été coupée, et ne serait pas rétablie avant longtemps à en croire Jarry. Avec pour corollaire de salement chauffer nos culs, avait ajouté le monstre que je n'aurais pas cru si féru de vocabulaire.

Chris ne nous avait pas transformés en chiens, pas complètement. Le dressage accentué que nous subissions nous soumettait au trio. Nous n'étions pas loin d'être soumis à la maîtresse chienne. Le monstre Jarry et Ray nous baisaient régulièrement, violemment, sans relâche et sans répit. À se demander comment ces deux-là pouvaient faire pour trouver une telle énergie. À croire que notre statut de toutous obéissants les excitait au plus haut point.

Entre les séances de baise, Chris reprenait ses propres séances de dressage. Mais, elle nous octroyait des récompenses, c'était de ne pas nous électrocuter. Chris se limitait à nous frapper avec le bâton, plus ou moins fort pour signifier son degré de mécontentement. Quand elle nous frappait légèrement elle accompagnait ses coups d'un commentaire montrant sa ...

... satisfaction: « C'est bien, bons chiens. Votre maîtresse est contente! » Ce qui n'empêchait pas Chris de nous brûler avec son bâton, elle trouvait toujours une raison, un prétexte, pour jouir de nous voir nous tordre et nous aplatir à ses pieds. Un plaisir purement et simplement jubilatoire.

Son fouet électrique nous brûlait le cul pour nous amener sucer et lécher son frère et nous faire vénérer la bite de Jarry. Pourtant elle reprochait à son frère de rester sans rien foutre, à se prélasser en buvant des bières, sans en branler une, à part sa bite bien entendu, mais en se foutant complètement des tâches ménagères. Elle n'osait rien dire au monstre qui avait établi son emprise, une emprise incontestable sur tout le monde et que personne ne songeait à lui contester.

— T'as qu'à y mettre Pixie et Dixie, lui répondit son frère une fois où il avait trop picolé.

— C'est des clébards, et les clébards font pas le ménage, sauf pour ce qui concerne ton entrejambe!

— C'est pas de vrais clebs, y z'ont de foutues pognes. Et si je dis à la salope de me branler le jonc, elle m'astiquera la manche. Et pis j'enculerais pas un de tes trucs à poils, alors que ta nénette à poil, elle, je collerais bien son cul autour de mon manche.

Sa sœur fit la gueule, parce qu'elle se mit à balayer et passer la serpillière en rouspétant. Je la remerciais silencieusement, car on bouffait par terre de plus en plus souvent, et on léchait le sol aussi. Ray adorait éjaculer sur le plancher et nous ...