Le Déluge 01 - Histoires de Sexe

Le Déluge 01

... contempla la pièce de toute la hauteur de sa stature, en jetant un regard périphérique d'un air de dominateur qui ne souffrait aucune contestation. Ray et Chris semblaient se recroqueviller.

— En levrette et écarte bien! ordonna-t-il à Lisa sur un ton cassant.

Comme je restai près d'elle sans bouger, il ajouta:

— Toi aussi, pareil! Cul contre cul!

Je l'entendis cracher. Lisa cria. Puis, je sentis deux doigts humides s'enfoncer dans mon cul et m'écarteler l'anus. Pourtant lorsque le monstre poussa un « Han » de bûcheron, c'est Lisa qui cria à nouveau, ensuite le claquement caractéristique du choc de chairs se fit entendre. Je jetai un coup d'œil. Le monstre enculait et fessait Lisa avec une force qui confinait à la violence, chaque choc la propulsait vers l'avant. Son buste était pratiquement aplati contre le sol par le poids monstrueux sur son dos. Les mains battoirs alternaient la compression des reins et l'écrasement des seins sans que ma femme se plaigne. Passé les premiers instants, celle-ci avait adapté les mouvements de son bassin au pilonnage du mandrin. Du gigantesque mandrin! Je pouvais apercevoir cette hampe longue et large entrer et sortir, s'extraire d'entre les fesses de plus en plus rougissantes de ma femme et y repénétrer avec un plus grand élan, une plus grande force comme si elle était aspirée de plus en plus goulûment par la femelle suppliante.

Enfin Jarry se retira, arrachant un gémissement de désespoir à Lisa. Et aussitôt il m'enfila avec ...

... la même violence que celle avec laquelle il avait pénétré Lisa. Ce fut douloureux, brûlant. Il ne me donna pas le temps de récupérer, car aussitôt il me pilonna le fondement et son bas-ventre me claqua les fesses pour démontrer son pouvoir. Je le sentis extrêmement excité, la frénésie acquise en sodomisant ma femme n'était pas retombée, bien au contraire, je percevais nettement son besoin d'éjaculer. Le géant saisit ma bite et me branla comme s'il désirait m'emporter avec lui dans son orgasme. Tout à coup je sentis sa queue enfler, se raidir. Je crus qu'elle allait exploser mon cul, que sa bite finirait par imploser dans mes entrailles. Et le mâle ultra-viril expulsa un long jet de foutre chaud en moi. Il m'écrabouilla la queue, et donna quelques coups de reins pour se vider complètement en moi. Puis il se retira dans un "plop" obscène. Son jus dégoulinait, il commanda à Chris qu'elle détache le collier de Lisa pour qu'elle lèche mon cul et avale son foutre dégouttant d'entre mes fesses. Je sentis la pointe de la langue chaude et fraiche de ma femme s'introduire en moi puis me caresser la circonférence de la rondelle. Elle en était encore à me nettoyer lorsque le mâle dominant déchargea une nouvelle fois dans les entrailles de ma femme. Elle dut rester ainsi exposée, face contre terre, poitrine surbaissée, cul tendu vers le maître, dégoulinant de foutre pour apprendre la position des femelles soumises dans le nouvel ordre du monde qui s'annonçait.

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La présence de ...