1. Une plage en Baltique


    Datte: 29/11/2025, Catégories: #romantisme, #rencontre, vacances, plage, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... (mais j’ai le temps de zieuter fugacement sa poitrine qui tient allégrement ses promesses), me proposant d’aller se baigner.
    
    Ce que nous faisons trois fois de suite.
    
    De retour, à chaque fois, Lærke s’allonge sur le ventre, dégrafant son haut. Le temps s’écoule un peu trop vite. Peu à peu, la température chute. Soudain, la jeune femme se met à genoux, m’offrant une splendide vue sur sa poitrine complètement dévoilée. Des beaux seins ni trop peu, ni pas assez, comme on dit. Quant à son popotin, mes yeux ont eu tout l’après-midi pour évaluer ses belles fesses charnues.
    
    — Ce n’est pas que je suis mal avec toi, mais il va falloir que je rentre…
    — Puis-je t’accompagner jusqu’à ton bungalow ?
    
    Restant toujours poitrine découverte, elle me sourit :
    
    — Permission accordée, Axel.
    
    Puis elle se relève pour mettre une tunique. Je constate avec plaisir que sa poitrine oscille sous le tissu, ce qui offre une vue très agréable. Elle met ses affaires dans un sac en jute, puis elle se met en route. Elle est venue à pied, je reprends mon vélo à la main. Chemin faisait, tandis que je cherchais comment prolonger notre rencontre, elle me dit :
    
    — Ce soir, je suis invitée à une soirée karaoké avec ma cousine. Je t’aurais bien proposé de venir avec moi, mais il fallait s’inscrire hier soir.
    — Tant pis…
    
    J’ai répondu très flegmatiquement, sereinement. Elle me regarde curieusement :
    
    — Pas trop déçu ?
    — Si je peux te revoir, non. À quelle heure souhaites-tu que je vienne te ...
    ... chercher demain matin ?
    
    Elle désigne du doigt une maisonnette en bois peinte dans des couleurs vives :
    
    — Voilà mon petit chez moi. Pour répondre à ta question, neuf heures, ce n’est pas trop tôt pour le Français que tu es ?
    — Pour un Français du Sud, peut-être. Neuf heures, ça me convient parfaitement.
    — Très bien ! Dans ce cas, à demain neuf heures devant chez moi, Axel.
    
    Je l’embrasse sur les joues de façon un peu appuyée, mais sans plus. Puis je chevauche mon vélo. Tandis que je m’éloigne à bicyclette, elle me regarde disparaître, en me faisant signe de la main, signe auquel je réponds.
    
    Ce matin, en venant la chercher en bicyclette à son bungalow, je constate qu’elle est un peu plus maquillée qu’hier, et qu’elle semble avoir fait quelque chose à ses cheveux, mais, comme je suis un homme, je n’arrive pas à savoir quoi exactement. Lærke a choisi de revêtir une robe d’été bleu et blanc assez légère, ce qui est très agréable à voir, surtout avec les jeux de lumière.
    
    Elle me devance pour les salutations :
    
    — Hej Axel !
    — God morgen, Lærke, lækkert som altid ! (délicieuse comme toujours)
    
    Ce qui me permet de faire un petit jeu de mots avec son prénom. Tandis que je pose ma bicyclette contre un mur, elle se met à rire :
    
    — Gros flatteur !
    — Je ne dis que la vérité, Lærke.
    
    Lærke apprécie visiblement mes manières policées, ma façon de jouer, de tourner autour d’elle, sans jouer les éléphants dans un magasin de porcelaine. Depuis ma rupture, je me méfie de ...
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