1. L'heure allemande


    Datte: 24/11/2025, Catégories: #drame, #historique, #candaulisme, #Voyeur / Exhib / Nudisme, fh, fplusag, cocus, uniforme, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fsodo, Auteur: John Langlais, Source: Revebebe

    ... nuisette retroussée autour de ses reins. Derrière elle, se trouvait, le torse nu, Helmut. Un torse sans gras, sans poils. Son bas-ventre claquait contre le fessier d’Hortense, il la pistonnait avec ses coups de butoir, alternant le rythme entre lent et rapide.
    
    Il murmura quelque chose en allemand. Hortense tourna la tête pour regarder Helmut, un instant. Puis, elle dit :
    
    — Continue.
    
    Helmut ne se fit pas prier. Il se pencha pour déposer un bisou sur l’épaule droite d’Hortense, puis un autre sur sa nuque, avant de poser encore un autre sur son dos, léchant le creux avec le bout de sa langue. Il sortit sa bite pour la replonger à nouveau dans l’entrejambe, agrippant sa taille en saisissant ses hanches par les deux mains, tirant les fesses vers lui. Hortense ferma les yeux en grimaçant, la bouche formant un « O ». Petit à petit, il augmenta la cadence, se mit à respirer plus profondément, le lit grinçant de plus en plus. D’une main, il roula le reste de la nuisette par-dessus de la tête d’Hortense et, par la même main, il s’appuya sur l’épaule gauche de l’épouse du maire.
    
    —Gut… Gut…, murmura le boche.
    
    Et il allait encore plus fort, la besognant avec toutes ses forces. Soudainement, Hortense laissa passer un cri fort et strident, aigu. Helmut ne s’arrêta pas, allant même jusqu’à redoubler ses efforts, grognant quelque chose en allemand. Il la baisa encore quelques secondes, puis émit un bruit guttural, rauque - ce que Jean-Louis supposa comme sa jouissance. ...
    ... Helmut se retira d’elle, montrant une grosse bite, épaisse et longue.
    
    Choqué, troublé, anéanti, abasourdi, submergé… un torrent d’émotions coulait en Jean-Louis. Il sortit de chez lui, s’éloigna rapidement, se dirigeant vers un bois à côté du bourg. Il ne croisa aucune patrouille allemande, ce qui lui permit de se réfugier pendant de longues minutes au fond du bois dans la nuit, en toute solitude. Il ne comprit rien. Puis, soudainement, se surprenant lui-même le premier, il extirpa sa bite de son pantalon, et se branla rapidement, en pensant à ce qu’il venait de voir par le trou de la serrure.
    
    *
    
    Deux semaines passèrent. Deux semaines pendant lesquelles il fut incapable de toucher Hortense, encore moins de faire l’amour avec elle. Deux semaines pendant lesquelles il vivait toujours avec ce boche, le boche qui le cocufiait. Deux semaines où Jean-Louis se montra taciturne avec tout le monde. Deux semaines où Jean-Louis ne pouvait pas chasser de son esprit ce qu’il avait vu. Il fantasmait sur ce qu’il avait vu. Il était possédé par un désir d’en voir plus, de voir le boche en train de la défoncer comme si elle était la dernière des putes.
    
    Dans les jours qui suivirent l’incident, des affiches de propagande arrivèrent à la mairie, annonçant la fête des Mères, qui aurait lieu le dernier dimanche du mois de mai. Des consignes émises par la préfecture, prônant la mère française comme l’égérie de la vertu, et encourageant les communes à organiser leurs propres fêtes, passèrent ...
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