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Lecture à voix basse
Datte: 24/11/2025, Catégories: #psychologie, #érotisme, #volupté, #rencontre, #personnages, #occasion, #Voyeur / Exhib / Nudisme, #Voyeur / Exhib / Nudismeitionniste, #masturbation, #BDSM / Fétichisme, #lieupublic, collection, noculotte, BDSM / Fétichisme Auteur: L'artiste, Source: Revebebe
... joui hier dans ton pantalon comme un homme pressé. Aujourd’hui, tu prendras ton temps. Naïa se releva, et posa ses doigts sur sa nuque. — Ici, c’est ton sommaire. Là où toutes tes envies s’alignent avant de descendre. Et là, ton dos… ton lexique. Plein de définitions qu’aucune femme n’a encore déchiffrées. Paul ferma les yeux. Son souffle devenait court. Naïa se rassit devant lui, les jambes de chaque côté des siennes, son sexe à quelques centimètres du sien. — Tu sais pourquoi je t’aime bien, Paul ? Parce que tu ne me regardes pas, tu m’écris comme une poésie. Elle plongea le pinceau dans sa chatte pour l’imprégner de mouille, puis traça un trait sur le torse masculin : — Lecture en cours, souffla-t-elle sur son gland. Une brise chaude. Légère. Une promesse. Elle s’approcha, fit glisser sa vulve contre sa queue. Juste en surface. Un frottement lent, sensuel. Une plume sur du bois nu. Paul trembla. Une goutte perla à son méat. Brillante. Naïa murmura à son oreille : — Si tu veux jouir… dis-moi ce que tu ressens, en une seule phrase. Il ferma les yeux et chercha. Pas une ...
... supplication. Pas un mot porno. Quand il les rouvrit, il la fixa. — Je suis un poème sale, écrit avec des doigts propres, qui attend d’être récité par ta chatte. Et Naïa s’empala. D’un coup. Net. Précis. Paul gémit. Trop fort. Trop tôt. Il n’avait pas dessiné la première lettre que, déjà, son corps trahissait. Une secousse. Puis une autre. Son souffle se bloqua, son visage se crispa. Le sperme avait jailli en elle, brutalement, interrompant soudain une phrase juste pensée, pas encore dessinée. Naïa s’immobilisa. Surprise. Son bassin collé au sien. Paul, les yeux écarquillés, tenta de parler. Rien. Que du rouge aux joues, du silence honteux. Elle le regarda longuement, puis l’embrassa tendrement. — Tu n’as pas attendu le point, Paul. Il ne nous reste plus qu’à reformuler. Et elle se blottit contre lui. Seins écrasés sur son torse. Tête posée sur son épaule. Corps calme. Paul l’enlaça, confus. Son sexe encore tremblant. Son cœur tambourinant. Il inspira profondément, comme pour s’imprégner d’elle, et ferma les yeux. Celle-ci, il n’avait plus à l’imaginer. Il la ressentait déjà magnifique.