Le trouble...
Datte: 23/09/2019,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
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Auteur: Cheminamants, Source: Revebebe
... tige frêle s’est redressée fièrement à force d’attentions et j’ai vu apparaître une fleur qui rosissait en s’ouvrant, tendre et lumineuse, veloutée comme la peau d’une femme. Aussi élancée, légère et aérienne qu’une taille fine prise entre deux mains.
Puis il ne dit plus rien, et quand il me fixe de son regard sombre, j’ai l’impression qu’il essaie de deviner ce que je ressens. Je suis troublée, embarrassée par l’envie qui monte en moi, celle de me laisser chavirer. Puis il reprend :
— Pendant que je vous raconte, relevez les manches de votre pull pour que je regarde votre peau.
— Si vous voulez.
— Oui, je le veux.
Il reprend :
— Ses pétales sont roses, ressemblant à deux bras ouverts qui finissent en pointes pour mieux se défendre contre les mains qui voudraient cueillir leur beauté et l’emporter. Sandra, tendez-moi vos bras que je puisse vous toucher.
— Oui.
Sans décoller mes bras de la table, je les fais glisser jusqu’à lui.
— Donnez-moi votre paume.
Je retourne mes mains et je reçois du bout de ses doigts des frôlements sur mes phalanges, des caresses qui font des cercles dans les creux de mes paumes. J’espère qu’il ne s’arrêtera pas.
— Quand je regarde cette fleur merveilleusement rose et veloutée, je découvre les sépales qui s’ouvrent lentement comme le feraient des jambes fines aux belles courbes en s’écartant pour recevoir l’amour.
Je gonfle ma poitrine et je me délecte de ce plaisir, puis je soupire pour sortir le trop-plein d’air qui ...
... vient du fond de moi. Pourvu que cela suffise pour calmer ma tempête intérieure. Son regard me dit qu’il apprécie.
— Racontez-moi encore.
— Déchaussez-vous avant, et tendez vos jambes pour que je puisse chauffer vos pieds.
— Sans vos chaussures, je veux bien.
J’enlève mes bottines, lui, ses mocassins et nos pieds se découvrent.
— Uhmmm… la suite : la jolie fleur propose comme réceptacle son labelle, semblable aux lèvres intimes d’une femme, écartées pour offrir à la vue son centre crémeux légèrement veiné de grenat. Dans l’attente, le cœur de la vie se prépare à ce qu’un doigt pollinisateur y dépose sa moitié de fécondité… Écartez vos jambes… que je vous imagine.
Lentement j’écarte mes jambes.
— Puis, arrosage après arrosage, en attentions délicates qui la comblent, la fleur s’épanouit du plaisir d’être choyée par son jardinier… Relevez votre jupe.
De mes deux mains, je relève ma jupe de fin lainage, puis je lui redonne mes mains à caresser. Je ne pensais pas que ça pouvait être si bon… tout…
— Alors, en récompense pour les mains attentionnées et pour le plaisir des yeux de l’arroseur, la belle multiplie l’agrément en offrant sur sa pousse une autre fleur, encore plus éblouissante, puis une autre, puis une autre…
— …
— Caressez-vous le sexe.
— Directement sur le mont de Venus… Comme cela ?
— Laissez-vous aller à plus de sensualité, Sandra. Oui, encore… que je vous sente vibrante de plaisir. Là, j’aime… Êtes-vous épilée ?
— Non.
Je frémis. Mon ...