1. Aparté


    Datte: 18/09/2019, Catégories: hh, hplusag, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral hdanus, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... Je suis puceau, je n’ai jamais rencontré une fille qui m’ait intéressé.
    
    Puis après un bref silence, il rajouta en plaisantant (?) :
    
    — Ni de mec d’ailleurs…
    
    Il se leva pour aller chercher le café, signifiant de manière on ne peut plus claire la fin de la discussion sur sa vie sentimentale… Je n’étais guère plus avancé sinon que son petit cul avait une apparence encore plus sexy sous la clarté lunaire.
    
    Depuis le début du repas, il était assis en face de moi. Quand il revint, il posa le plateau et s’assit à ma gauche à l’angle de la table. Son genou toucha franchement le mien sans aucune ambiguïté. La raison aurait voulu que je le déplace mais comme l’écrivait je ne sais plus quel besogneux de la plume pour qui j’avais une pensée émue ce soir : il est des raisons que la raison ignore. Mon genou, non seulement, resta contre le sien, mais se frotta plusieurs fois comme par inadvertance au bleu-lycra.
    
    Nous discutâmes de tout et de rien jusqu’à ce que le froid nous chasse vers l’intérieur. Discussion prétexte à des mains qui s’effleurent, à une paume qui reste trop longtemps appuyée sur un bras, à d’autres petits gestes sans conséquence pris séparément mais qui ne sauraient être coïncidences quand ils s’additionnent les uns aux autres. Par timidité, par manque d’assurance, par peur de se faire jeter, aucun de nous n’osa franchir le pas ce soir-là. Vers minuit, j’allai me coucher avec de drôles d’idées dans la tête, de drôles de frémissements dans le cœur et plus ...
    ... bas.
    
    La nuit ne fut pas des plus calmes et se déroula en plusieurs séquences.
    
    Épisode 1 : impossible de m’endormir.
    
    Même cinéma que sous la douche plus tôt dans l’après-midi. Images de la soirée en boucle. Ses sourires, ses mimiques, les effluves entêtantes de son eau de toilette et surtout la connivence de nos peaux. Ces effleurements improbables qui dans l’avancée de la soirée se muèrent progressivement en contacts permanents.
    
    Comme à mon habitude, je me couchai nu. Une main sur mon sexe immédiatement en érection. L’autre qui caressait mon ventre, mes seins, mes cuisses. Mais étaient-ce mes mains, était-ce mon corps ?
    
    Le fantasme était si puissant que la jouissance vint rapidement mais je continuai à martyriser ma bite, à tirer sur mon prépuce jusqu’à en avoir mal. Entièrement dans mon délire, j’en avais oublié le drap. Résultat, une grosse tache bien gluante. Au point où j’en étais, au risque de choquer les ayatollahs de l’hygiène, je m’y essuyai la bite.
    
    Épisode deux : prise de tête.
    
    L’homme, selon le dicton, est triste après l’amour. Je ne saurais dire. En tout cas après cette masturbation frénétique, j’étais quasi dépressif. Cette attirance intempestive me contrariait beaucoup. Pas tellement le fait que ce soit un mec ; je n’avais jamais rien eu contre les homos et mon absence de libido me rendait très tolérant quant à celle des autres.
    
    Au contraire, l’expérience n’était pas pour me déplaire. Son jeune âge, le fait que ce soit le fils de mon patron ...
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