1. Aparté


    Datte: 18/09/2019, Catégories: hh, hplusag, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral hdanus, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... mains sur sa/ma queue, mon vit contre sa fente… La tension devint trop forte ! Fort de mon inexpérience, ignorant de toute technique, je me branlai rustiquement. Le résultat ne se fit pas attendre : j’expédiai la purée contre la paroi de la cabine. Pour autant, mon excitation n’était pas tombée. La peau, au rythme de ma main, coulissait sur ma hampe, nerveusement. Ma bite ne voulait rien entendre, continuant de se tendre.
    
    Mon foutre se répandait sur son dos, souillure blanchâtre sur son derme ensoleillé. J’avais accroché le pommeau de la douche à son attache. Je me masturbais des deux mains. Broyant mes testicules, tirant sur la peau de ma bite aux limites extrêmes de sa mobilité, j’éjaculai une seconde fois avec la même énergie que précédemment. Soulagé, je pus terminer ma séance de récurage sans autre incident. Je me séchai et m’habillai « décontract » pour le repas : short et chemisette.
    
    Jean-Charles n’avait pas fait d’efforts vestimentaires superflus : en fait, il s’était contenté de passer un t-shirt informe sur son cuissard. Ce qui m’arrangeait et me dérangeait. Ça m’arrangeait parce que la longueur du t-shirt dissimulait ce qui m’avait perturbé cet après-midi et pour la même raison ça me dérangeait car je ne pouvais plus voir ce qui m’avait excité cet après-midi.
    
    Nous nous installâmes sur la terrasse face à la montagne. Jean-Charles exigea de faire le service sous les prétextes conjugués que c’était lui qui avait préparé le repas et qu’à la suite de ma ...
    ... randonnée je ne pouvais être que fatigué. Égoïstement, j’acceptai. Je pus ainsi apprécier à chacun de ses départs l’élégant balancement de son fessier bien rendu par le bleu- lycra. J’éviterai de détailler le menu mais J. C. m’étonna par l’étendue de ses talents culinaires. Méchamment, je me dis à moi-même :
    
    — Une bonne petite femme d’intérieur !
    
    Le déroulement du repas fut à la hauteur de la qualité du menu. Il fallut d’abord dissiper la gêne provoquée par le petit épisode de la terrasse. Nous parlâmes donc des États-Unis, un peu des affaires de Papa. Au second plat et après que nous eumes vidé une bouteille d’Apremont, la glace était brisée. Jean-Charles, libéré par l’alcool, se montra très curieux et me questionna sur ma vie. Il s’étonna qu’un homme comme moi ne soit pas marié, n’ait pas d’enfants. Alors que la petite voix de mon moi interne me disait« tu ne vois pas qu’il essaie de savoir si t’es homo ! », je me surpris à lui raconter ma vie, lui parler de mon mariage raté, de mon désintérêt pour les choses du sexe tout en lui précisant que j’étais absolument « normal » de ce côté-là.
    
    Affirmations démenties involontairement par les pressions que j’exerçais à tout propos sur son avant-bras. Depuis un moment, nos jambes se touchaient et ni l’un, ni l’autre ne semblions en faire cas, ou ni l’un ni l’autre n’osions en faire cas. Avant qu’il ne serve le café, alors que la nuit tombait, j’entrepris de le questionner sur sa vie affective. Sans aucune gêne, il me répondit
    
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