1. Un carré de coton entre nous


    Datte: 07/09/2019, Catégories: ff, f, fbi, amour, dispute, jeunes, pied, Masturbation Oral nopéné, cadeau, init, Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe

    ... de cela, notamment au moment des examens, pour surmonter le stress. Cela me libère. Et toi ?
    — Non, jamais. Je sais qu’il faudrait que j’essaie pour éveiller mes sensations, mais je n’en ressens pas l’envie ni le besoin. Veux-tu que je te donne du plaisir avec ma langue ?
    — Oui. J’en rêve depuis la dernière fois que nous nous sommes vues. Je n’en dors plus tellement j’ai besoin de câlins de ta part. Viens, lèche-moi ! Regarde, mon sexe est parfaitement lavé et parfumé. Les poils te gênent-ils ? Si oui, n’hésite pas à me le dire, je m’épilerai. Ce matin j’ai d’ailleurs envisagé de tout couper au rasoir, mais je me suis demandé si tu aimerais.
    — Tu as failli faire une bêtise. Au contraire, j’adore ta fourrure. Garde-la, surtout. Elle retient tes odeurs naturelles. Tu n’as pas besoin de sens-bon. J’aime tes fragrances femelles, exaltantes et capiteuses. Toutes ces molécules organiques qui émanent de ta vulve sont un délice olfactif.
    
    Entre ses deux pouces, elle sortit le petit bouton des délices de son capuchon. Par un balayement rapide mais précis de l’extrémité de la langue, elle amena rapidement sa partenaire en phase de plateau, au cours de laquelle s’écoulent les sécrétions lubrifiantes. Puis elle prit son temps, faisant vagabonder son muscle buccal à l’entrée du vagin, voire fleuretant avec la rosette anale, avant de revenir titiller le clitoris. Celui-ci, se gorgeant de sang sous l’effet de l’excitation sexuelle, prenait un rouge plus foncé et augmentait de volume ...
    ... ; il en était de même des nymphes et les grandes lèvres. Rosalie, rompant par moments le contact lingual, observait ces phénomènes anatomiques avec une curiosité scientifique. Faute d’une stimulation franche et continue, il fallut plus d’une demi-heure avant que Lucie parvînt à l’orgasme, celui-ci se dérobant plusieurs fois au moment où il était attendu, avant d’exploser, irradiant son abdomen, et suscitant un long hurlement que la jeune femme ne parvint pas à retenir. Les yeux brillants, haletante, elle embrassa fougueusement celle qui venait de lui offrir tant de volupté.
    
    — Merci mon amour.
    
    Rosalie continuait à caresser la vulve et le ventre d’une main, très doucement, en lissant les poils, ce qui prolongeait les ondes de plaisir qui parcouraient sa partenaire. Celle-ci fermait les yeux, rassasiée de luxure et béate. Passé l’acmé de leur communion érotique, elle sentait les contractions vaginales se poursuivre à une fréquence qui faiblissait progressivement, tandis que sa respiration reprenait un rythme normal.
    
    — Je jouis de ton plaisir, mieux que si c’était à moi-même qu’on faisait cela. J’aime ta lubricité, ta manière de t’offrir à mes caresses. J’aime aussi t’entendre hurler. Ta volupté est communicative. Les voisins vont peut-être te le reprocher…
    — Qu’importent les voisins : s’ils sont jaloux, ils peuvent dire ce qu’ils veulent.
    — Donne-moi tes mains. Elles sont si fines et si douces. Si tu veux, caresse-moi partout.
    
    Lucie entreprit un massage intégral. ...
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