Un carré de coton entre nous
Datte: 07/09/2019,
Catégories:
ff,
f,
fbi,
amour,
dispute,
jeunes,
pied,
Masturbation
Oral
nopéné,
cadeau,
init,
Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe
... grands afin de plaire à sa dulcinée. Celle-ci me montra sensible à cet égard. À la fin du déjeuner, la vaisselle effectuée ensemble, elles s’assirent côte à côte sur le bord du lit, les yeux dans les yeux. L’hôtesse sentit son cœur exploser en exprimant son désir d’union saphique.
— Ce n’est pas possible, lui répondit Rosalie. J’ai mes règles.
— Tant pis. Dans quelques jours alors, tu veux bien ?
— Attends. On peut quand même faire quelque chose.
Lentement, elle déboutonna le corsage de Lucie qui ressentit une bouffée de chaleur érotique lui parcourir le corps, des orteils au cuir chevelu. Elle dégrafa aussi le soutien-gorge. Réciproquement, elle laissa sa partenaire faire de même. Mais elle tint à garder son pantalon.
— Je saigne beaucoup aujourd’hui, cela déborde de ma culotte et je risque de tâcher ton couvre-lit.
— Faire de la lessive est bien la chose dont je me moque le plus en ce moment. J’ai tout mon temps. Tout ce qui vient de toi m’attire énormément.
— Cela ne te suffit pas comme cela ? Tu n’aimes pas mes seins ? Les tiens sont magnifiques. Tu dois rendre les hommes fous avec une telle anatomie. Tes yeux, aussi. Je connais des filles qui feraient tout pour avoir de longs cils, naturellement, comme les tiens.
— Les hommes ne m’intéressent pas. Il n’y a que toi qui me plaises. Tu es très belle. Ton regard est une merveille. C’est moi qui suis folle.
Rosalie caressa délicatement les mamelons de sa compagne en invitant celle-ci à faire de même. Ces ...
... tendresses lesbiennes durèrent près d’une heure, durant laquelle, sans se lasser, elles alternèrent suçotement des tétons, massages du dos et des pieds. Lucie eut envie de se mettre nue, afin que sa compagne la voie ainsi. En retirant sa culotte, elle se rendit compte que c’était la première fois depuis l’enfance que quelqu’un la voyait sans aucun vêtement. Cette pensée lui procura un plaisir intense, une sorte de joie exhibitionniste dont elle ne serait jamais cru capable, elle qui avait toujours été si pudique. Elle écarta largement les cuisses afin de rendre sa vulve humidifiée par le désir complètement accessible à Rosalie, qui délicatement glissa sa main sur la toison pubienne, et posa son index à l’entrée du vagin.
— Tu es vierge ?
— Oui, dit Lucie. Cela te surprend ?
— Non. Je le suis aussi. J’ai déjà eu plusieurs partenaires, notamment masculins, mais ils n’ont jamais été jusqu’à enfouir leur sexe à l’intérieur du mien. Je ne les ai pas laissé faire.
Elle commença à faire rouler la perle de joie sous son doigt, sans pression, en effleurant à peine. Le contact digital sur sa chair intime la mit en effervescence. Elle bascula sa tête en arrière, les yeux révulsés derrière ses paupières closes, concentrée sur cette perception extraordinaire. Elle murmura « Oh oui ! » tout en pensant :« Ce doit être un rêve, une fille est en train de caresser mon clitoris ». Mais cela ne dura qu’une poignée de secondes.
— Tu sais, dit Rosalie, il est déjà tard, et j’ai du travail. ...