Petit goût de "Revenez-y"
Datte: 02/09/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
hbi,
extracon,
cocus,
hsoumis,
miroir,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
hsodo,
yeuxbandés,
confession,
Auteur: Margrite, Source: Revebebe
... comme dit Pierre, que par les actions.
Lorsque je franchis leur porte, j’abandonne toute volonté, toute pudeur, tout amour propre. Ils reproduisent souvent avec moi la scène avec le bandeau, scène qui déclenche immanquablement des remarques sur ma femme :
« Une gourmande qui ne demande qu’à être baisée, une salope qui s’ignore, un mari qui ne sait pas la satisfaire, une femelle qu’eux sauraient dresser pour le plaisir de tous, qu’un jour ils lui diront tout de cette Alice qui vit à côté d’elle ».
Ces remarques sont une façon de m’humilier et pour bien me mouler dans mon rôle de soumise.
Ils jouent avec moi. L’autre jeudi, ils ont invité des amis. Un couple que je n’ai pas pu voir. Eux non plus, car pour cette séance le bandeau a été remplacé par une cagoule.
— C’est ta femme qui nous les envoie. Depuis qu’on lui a dit combien tu aimes te faire mettre par une grosse bite, elle a pensé à eux. Mais on est bon prince, ils ne pourront pas te reconnaître.
Bien entendu, je sais que ce n’est pas Adèle qui les envoie. Ma femme ne sait rien et je suis d’une prudence extrême, mais cela participe à l’ambiance. Toujours cet « Avant ».
Pendant que je baisais la femme et que le mari me la mettait bien profond dans un silence uniquement habité de soupirs et des encouragements de mes maîtres, je pensais à la promesse qu’ils venaient de me faire. Pour mon anniversaire m’emmener dans une boîte pour une soirée SM, habillé comme une femme, et m’offrir à qui voudra bien ...
... abuser de moi. L’humiliation sera totale, mais cela m’excite déjà.
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— J’ai une surprise pour toi. Dans quinze jours, il faudrait que tu sois à Paris le vendredi après-midi. Tu pourrais ?
Je soupçonne encore une rencontre ou un scénario bien bandant, lorsque Pierre me pose la question. J’accepte, mais je cherche une façon de l’annoncer à Adèle. Bien que nous n’ayons jamais reparlé du Nouvel An et de ma liaison avec Sandrine, je me sens sous surveillance. Je la comprends. Après tout, je couche toujours une nuit à Paris. J’ai pris toutes les précautions prévenant aussi mes amants au cas où elle appellerait ! Mais on ne sait jamais. Ni Alain ni Alice ne pourraient accepter qu’elle me quitte. Alice a besoin d’Alain, mâle aimant, mari prévenant. Parler d’une nouvelle réunion serait prendre un risque. Elle sait que celles-ci sont notées sur le site de la boîte.
Discrètement je consulte son agenda. Depuis quelque temps, elle est consultante pour une entreprise qui a des succursales dans les principales grandes villes de France. Il lui arrive donc de voyager. Elle peut ne pas partir une semaine et être absente deux jours une autre. C’est très irrégulier.
Ouf. Le dieu des lopettes est avec moi. Alice jubile déjà. Pas besoin de parler de mon absence. Elle-même ne sera pas chez nous. Elle enchaîne deux succursales. Bordeaux et Lille. Quand je pense qu’elle accusait ma direction d’être des cons pour ne pas savoir minimiser les réunions. Et elle ! ...