1. Petit goût de "Revenez-y"


    Datte: 02/09/2019, Catégories: fh, fhh, hbi, extracon, cocus, hsoumis, miroir, Oral pénétratio, Partouze / Groupe hsodo, yeuxbandés, confession, Auteur: Margrite, Source: Revebebe

    ... tu peux comprendre. Il faisait chaud. J’avais beaucoup bu. Bon d’accord, je reconnais avoir été excitée par tout ce qu’elle m’a montré avec les explications qui vont avec…
    — Je comprendrais pour la partie avec Sandrine, mais avec son mari c’est plus difficile de croire qu’ils t’ont entraînée sans que tu puisses résister.
    — Pourtant c’est le cas.
    
    C’est étonnant, mais elle a changé de ton. De la voix avec des sanglots, elle est passée à une voix dont je sens sourdre une exaspération.
    
    — À ta voix, on pourrait croire que je ne devrais rien dire. Accepter ! Pardonner ! Tout de même… Je peux comprendre une faiblesse, mais reconnais que tu as fait fort.
    — Pourtant tu devrais comprendre. Tu es aussi responsable.
    — Moi ? Responsable ? Mais de quoi ? Moi, j’étais en bas, bien sage, mari qui était en train de se faire cocufier deux étages plus haut! Et de quelle façon !
    — Que je suis conne. Quand je pense que je me sentais coupable. Que j’avais honte.
    — Pourquoi tu dis ça.
    — Écoute, mon chéri. Mari bien sage pendant que sa femme… Bien sage !? Mon cul ! Chéri, il faut toujours se méfier. Les murs ont des oreilles. Mieux, des yeux…
    
    Merde elle va me parler du miroir. Elle reprend:
    
    — Tu sais à la réception de ton hôtel, il y a une femme. Eh bien cette femme, lorsqu’elle a appris que j’étais ton épouse, elle m’a raconté plein de choses.
    — Des mensonges. Tout cela parce que j’ai résisté à ses avances…
    — Des mensonges comme quoi tu montais souvent dans ta chambre avec une ...
    ... femme ? Jamais la même d’après elle.
    — Mensonges.
    — Des mensonges comme quoi depuis des semaines elle ne t’avait pas vu ? Que manifestement, tu couchais ailleurs.
    — J’ai changé d’hôtel. Justement parce qu’elle me harcelait.
    — Pauvre chéri, harcelé par la réceptionniste. Un autre hôtel ? Ne te fatigue pas, je sais tout. Tu veux que je te dise, j’ai compris lorsque j’ai rencontré Sandrine. Sandrine et sa liberté de pensée.
    — Ce que tu vas chercher !
    — Elle me l’a dit.
    — Je ne te crois pas. Si elle t’avait dit ce genre de chose, tu aurais tout de suite réagi et tu m’en aurais parlé.
    — C’est vrai. Sauf que lorsque je l’ai appris, plus exactement confirmation de ce que je soupçonnais, tu n’étais pas là. Justement, tu étais en bas, petit mari bien sage…
    — Mais…
    — Comme tu dis. Mais… mais oui. Lorsque Pierre est arrivé dans la chambre, au début je n’ai pas voulu. Et puis Sandrine m’a parlé. En quelques mots, elle m’a confirmé que tu étais son amant, mieux, que Pierre assistait à vos ébats… Alors tu vois…
    — Elle t’a dit cela. Que Pierre regardait ?
    — Tu vois maintenant, tu ne nies plus. Oui, que Pierre regardait, mais aussi qu’il participait et que deux hommes à la maison apportaient beaucoup de possibilités.
    
    Ouf. Elle n’a pas parlé du reste.
    
    — Ah !
    — Alors tu comprends maintenant pourquoi j’ai accepté son invitation.
    — Oui. Je comprends.
    
    Un long silence.
    
    — Je m’excuse, je dis dans le creux de son oreille.
    — Moi aussi, elle répond.
    
    Je m’éloigne d’elle. ...
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