Petit goût de "Revenez-y"
Datte: 02/09/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
hbi,
extracon,
cocus,
hsoumis,
miroir,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
hsodo,
yeuxbandés,
confession,
Auteur: Margrite, Source: Revebebe
... elle s’est laissé prendre ? Tu l’as pourtant bien vue, est-ce qu’elle avait l’air malheureuse ? Est-ce qu’elle a juste accepté une baise rapide, une vengeance vite faite? Mais non, devant le miroir, comme une bonne salope. Tiens, montre-nous comment elle s’était installée. Tu étais bien placé juste en face avec Sandrine ! Montre-nous, petite Alice, comme la femelle d’Alain s’est fait prendre.
Je me souviens comme si c’était hier.
Je me lève.
J’appuie mes deux mains.
J’écarte les cuisses en me penchant.
Je me cambre.
— Tu vois que tu te souviens bien.
Pierre s’approche. Sa queue est tendue. Il se frotte à moi. Son gland me pointe. Il fait un pont entre lui et moi. Il m’agrippe les hanches.
— Je l’ai prise doucement pour ne pas lui faire peur avec mon gros truc. Mais c’est entré comme dans du beurre. Une chatte de femelle en rut. Pas une chatte de femelle sèche qui se force.
— Et toi, tu me prenais en levrette pendant ce temps-là, dit Sandrine qui s’approche de nous.
— Ça t’avait excité hein ! Petit mari.
— Oui.
— Après tu as bien regardé comment elle appréciait. Tu as bien vu sur son visage qu’elle aimait ma queue?
— Oui.
— Pas le visage d’une femme qui ne fait que se venger.
— Non.
— Alors Alice, quel effet cela te fait de faire comme elle ?
— C’est excitant…
— Tu bandes ma salope. Attends…
Pierre m’enfile maintenant avec sa puissance habituelle. Ses couilles tapent les miennes lorsqu’il me la met à fond. Sandrine, elle, s’est assise ...
... sur le sol à côté de nous et nous caresse.
— Vas-y, mon chéri, défonce-le.
Il ne se prive pas. C’est bon.
— La prochaine fois, tu la prendras par le cul, comme Alice. Son cul doit être bien serré pour une belle bite comme la tienne.
Toujours ce jeu de la provocation.
Il se libère comme il s’est libéré dans la fente de ma femme. Je vois encore son foutre couler de la chatte de mon épouse.
Moi, sous la branlette de Sandrine, je crache ma liqueur qui pollue le miroir…
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— Tu reviens demain pour 14 h précises.
— Je ne couche pas ici ?
— Non, va te reposer. Je te veux en forme pour la surprise.
— Mais qu’est-ce…..
Je me tais. La menace est toujours bien réelle.
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Quatorze heures précises, je sonne.
— Bien. En forme ?
— Oui.
— Suis-moi.
Je salue Sandrine, manifestement en beauté qui installe à boire dans le salon. Mais Pierre me fait monter à l’étage. J’imagine que la surprise va arriver et que moi je l’attendrai dans la chambre. Un peu comme la fois où ils ont invité le couple.
Mais non, c’est vers le dressing qu’il m’entraîne.
— Pas de question. Tu attends. Tu ne bouges pas. Surtout tu n’interviens sous aucun prétexte. Je t’appellerai le moment venu. Tu entreras sans bruit, à poil…
Il déplace les vêtements, tire le rideau. La chambre apparaît. Tout est bien rangé. Personne. Donc la surprise n’est pas encore arrivée.
Surprise ! Elle peut prendre bien des formes. La dernière fois que ...