Ma domestication. (1)
Datte: 31/08/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... doucement, certes, mais je n’en ai pas moins mal pour autant. Je jouis quand cette fine main s’enfonce entièrement dans ma chatte. Je jouis oui, puis plus rien.
J’ouvre un œil abasourdi, assommée de plaisir. Je suis dans une cage, je ne peux pas me retourner, je suis couchée sur le côté et la cage n’est pas haute, pas large, pas longue. Je suis roulée en boule, ligotée, incapable du moindre geste sans ne pas avoir mal. Et il entre, nu, son gros sexe pendant entre ses jambes. À ses pieds, son esclave, nue, une queue enfoncée dans son anus, en laisse.
— Alors, Gilberte, tu en veux encore ou tu veux me fuir comme la plupart ? Oh, chut, je n’ai pas terminé. Si tu restes, tu deviens son égal, ma pute. Si tu restes, tu m’autorises à user de toi comme bon me semble sans ne jamais rien me refuser. Si tu me quittes, tu as une semaine pour revenir. Après quoi, inutile de revenir, même avec le meilleur contrat d’assurance au monde. Il est deux heures du matin, tu as jusqu’à huit heures. Je viendrai entendre ta réponse à cette heure précise.
Devinez quoi ! Oui, je suis revenue une semaine plus tard sans rien d’autre qu’une simple robe à deux balles sur le dos, sans chaussures, sous une pluie battante et totalement en manque de sexe. Depuis ce jour, à trente-deux ans, je suis devenue la pire chose qui existe. Il m’a obligé à un annelage de mes seins, de mon nez, de mon clito. Je porte sa marque tatouée entre mes épaules, sur mon sein gauche, sur mon pubis. Derrière, au bas de ...
... mes reins, il y a une flèche qui donne la direction de mon anus et juste au-dessus, il est écrit : « Entrée des Artistes ». Enfin, sur ma fesse gauche, il y a peu, il m’a fait marquer de ses initiales "C. R." et au fer rouge. Autant dire que mon Maître ne m’a jamais rien épargné. En fait, il a fait de moi pas que la pire chose qui existe, mais aussi la plus abjecte. Parce que tout ce que je subis, les viols, ses violentes punitions, les locations de mon corps, les gang-bangs et autres, ben ça me fait jouir. Il peut m’obliger à tout sans que je ne lui refuse rien. Du reste, je n’ai aucunement l’envie de lui refuser quoi que ce soit, même de servir de chiottes publiques s’il l’exige. Je l’aime et c’est aussi simple que ça.
Bien, si le hasard veut que vous me croisiez, il ne vous sera pas difficile de me reconnaître. Je porte toujours une très courte robe qui dévoile mon dos nu afin que tous puissent connaître mon statut d’esclave. Je porte aussi un collier en acier à mon cou et un bout de chaîne en guise de laisse. Je porte également des bracelets en acier à mes poignets et mes chevilles, parfois, ils sont même unis par des chaînes. Je suis en plus, toujours pieds nus, sans bas ou collant d’aucune sorte. Non pas que je m’exhibe, non, c’est parce que je fais les courses de mon Maître toujours ainsi, par tous les temps, en toute saison. Et si l’envie de me baiser, de m’enculer ou pire encore, vous prenait, sachez que je n’ai pas le droit de refuser quoi que ce soit à qui que ce ...