Ma domestication. (1)
Datte: 31/08/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... continue et plus fort encore. Et là, c’est le big-bang quand ce n’est plus la main qui me fesse, mais sa cravache. Slack, slack, les coups de cravache pleuvent sur tout mon corps. J’explose, j’implose, je ne sais plus ce qui m’arrive, pourquoi je jouis, je ne sais même plus où je suis, sur terre, dans l’espace. Oh que c’est bon, là, je ne veux plus que cela s’arrête. Je veux qu’il m’achève, me tue à coups d’orgasme. Et cette femme qui pose son intimité sur ma bouche. Putain, le goût, c’est merveilleux, j’adore. Sa cyprine envahit ma gueule de salope et je la bois, je lape cette chatte. Ma langue va même titiller ce cul. Le goût de ce fion, il m’électrise et je jouis sans ne plus rien contrôler.
— Encore une pute qui s’ignorait. Sybile, menotte-moi cette salope. Je crois qu’on va se la garder cette nuit. Hein ma pute, on nous aime tellement qu’on ne nous quittera que demain, ma belle assureuse. Enfin, sauf si tu te mets à mes pieds et que tu restes. Mais pour ça, on en reparlera demain, ma grosse cochonne.
— Oui, cochonne, salope, putain, tout ce que tu veux, sale enfoiré. Mais bordel, encule-moi encore espèce d’enfant de salaud
— L’enfoiré et le salaud te merdent, sale chienne. Tiens, en voilà encore une volée puisque tu sembles aimer avoir mal. Cette salope est pire que toi, Sybile.
Une volée de coups de cravache s’abat sur mon cul, mais pas que, mon dos, mes bras et même mes seins. L’enfoiré, s’il sait faire mal, il sait aussi me faire jouir par la même ...
... occasion. La soumise me tord mes bras dans mon dos et me menotte sans aucun ménagement. Ça m’oblige à poser ma tête sur le sol et ces coups de cravache qui n’en finissent pas de me brûler mon corps, sa bite qui passe de mon cul à ma chatte et moi, comme une putain, je jouis. À mon cou, la femme me l’emprisonne d’un large collier de cuir qu’elle cadenasse avec une laisse. L’homme se retire sans avoir expulsé son foutre dans mon corps. Il tire sur la laisse, sans me laisser me relever. C’est à genoux que je dois le suivre dans une autre pièce. Juste avant d’y entrer, il me bande mes yeux. Après, si je ne vois plus rien, je sens. Je sens la douleur de pinces posées sur mes seins, mon sexe, mes cuisses, mes bras, même sur ma langue. Puis, comme si cela ne suffisait pas, il me coule ce qu’il me semble être de la cire, c’est brûlant et je crie. Quand il me gifle, il me réduit au silence du même coup. Sa main qui agite mes pinces, je jouis. C’est complètement dingue, je jouis d’avoir mal, très mal même. Suis-je devenue masochiste ? Non, c’est impossible, pas moi, pas la femme que je suis. Oh ma Gilberte, te voilà tombée bien bas. Si bas que tu aimes ce qui t’arrive. D’un coup, toutes les pinces de mon corps s’arrachent, m’arrachant un long hurlement. J’ai si mal que je peine à sentir mon corps. Pas une parcelle de ma chair n’échappe à la douleur. Et il y a cette bouche qui me bouffe mon cul, ma chatte. Je vais jouir... Oui, putain, je jouis et cet homme qui me fouette encore, plus ...