Ma domestication. (1)
Datte: 31/08/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... plus de jambes. Et cette bouche, elle a écarté ma culotte et cette langue qui s’enfonce dans mon sexe, c’est tellement divin que je jouis là, encore une fois, glissant de ma chaise, le cul sur le sol. La femme se jette sur moi, force ma bouche. Je ne contrôle plus rien, moi, la femme sûre d’elle, intransigeante, je perds le contrôle de la situation. J’embrasse une femme pour la toute première fois de ma vie, à plus de trente ans. Pire que tout, mes mains, elles glissent sur son corps et je prends goût à cette chair plus jeune que moi. L’homme s’est levé pour venir près de ma tête. Je suis maintenant couchée, incapable de me relever. Il le sait, ce salaud, que je ne peux lutter contre mon corps qui désire cette femme, la bite de cet homme. Quand il la sort, la pose sur mon nez, comme une folle, je l’attrape d’une main, la fourre dans ma bouche et la pompe avec l’énergie du désespoir. Je la veux dans mon sexe, cette belle et grosse bite. Oui, il est monté comme un cheval de compétition, ce salaud. La femme me bouffe la chatte, enfonçant même plusieurs de ses doigts. Mais quand elle glisse son majeur entièrement dans mon cul, je hurle mon bonheur. Je hurle à cet homme de me baiser, me violer et même, oh meeerde, de m’enculer. Oui, m’enculer, moi qui déteste la sodomie, je l’ai supplié de m’enculer brutalement. La femme l’a très bien compris, elle me dilate mon fion, cette salope. Déjà, je sens plusieurs doigts qui vont et viennent dans mon anus. J’aime cette sensation de me ...
... sentir sodomisée. Dans ma bouche, la bite va-et-vient sans que ma tête ne bouge. Il m’empêche même de la bouger de ses grosses mains. Je vais jouir, c’est certain, je le sens au fond de moi. Ça va même être énorme, du jamais vu, du jamais senti, une première mondiale pour moi, Gilberte, l’assureuse. Et quand ça sort, c’est comme si le monde me catapultait à l’autre bout de l’univers. Je fixe cet homme, hébétée, heureuse même.
Du pied, il repousse brutalement son esclave. Par sa queue-de-cheval, il lui plaque son visage entre ses fesses et sa bite me défonce déjà ma chatte. Je m’agrippe à lui, je la veux sa bite et tout au fond de mes entrailles. Il me défonce, me déchire, le salaud. Oh quelle putain je fais. Oui, c’est ce que je suis quand il me saute, une vulgaire putain, un sac à foutre. Quand il se retire, me retourne comme un bout de barbaque, qu’il me défonce mon cul, je hurle encore, je jouis encore, sans fin. Je le supplie encore de me défoncer ma rondelle. En plus de me défoncer, me déchirer, il m’insulte, me traite de tous les noms qu’une salope telle que moi doit avoir.
Et là, en plus de me bourrer, pan, paf, splaf, il me fesse à tout rompre et pas tendres, ses baffes. Il me fesse cruellement et je commence à aimer ça, moi qui ne supportais pas la moindre claque sur mon cul, même en douceur, de la part de mes amants. Elle est où l’ancienne Gilberte ? La garce, elle a mis les voiles. Et ces claques qui n’arrêtent pas de rougir mon cul, mes cuisses. La vache, qu’il ...