Ma domestication. (1)
Datte: 31/08/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... humble, provenait d’une autre pièce.
— Bien, voici les différents projets dont nous avons déjà parlé au téléphone. Et... Oh mon Dieu !
— Hein, quoi ? Oh, c’n’est rien de plus que mon esclave, Sybile. N’y prêtez pas attention, elle n’en vaut pas la peine !
Une femme pratiquement nue, pieds et poings menottés, vient d’entrer dans cette salle à manger. Fixé à sa poitrine par des pinces, à sa taille par une sangle, un plateau avec nos verres posés dessus. Je suis sous le choc même si j’en ai déjà vu beaucoup dans ma vie de femmes étranges. Le pire, c’est que mon client me parle d’elle comme si elle n’existait pas ou plutôt comme s’il s’agissait d’un vulgaire objet. La femme s’approche de la table, son... oui, son Maître prend les deux verres et me dépose le mien devant moi. La femme s’agenouille, ses genoux largement écartés.
— Bien, c’est celui-ci que je veux signer. Enfin, pas sans certaines modifications. À commencer par le retrait de cette franchise à la noix et un délai de remboursement d’une semaine après un sinistre et non trois mois. Sinon, il me convient bien, les primes ne sont pas exagérées si on tient compte de mes modifications. Celui-ci, par contre, est bien trop contraignant et... Vous m’écoutez, Madame Berdeau ?
— Heu... Oui, oui, je vous écoute ! Pardonnez-moi, je me suis laissé distraire par votre...
— Ma petite pute, oui, cela arrive souvent quand j’ai du monde. Peut-être désirez-vous qu’elle s’occupe de vos pieds ou même, si l’envie vous ...
... prenait, de votre intimité ?
— Heu non, c’est gentil mais non. Là, cet enfoiré, derrière sa barbe, il marque un point, ma chatte crève d’envie de sentir cette langue.
— OK, pas de souci. Mais elle n’est là que pour ça, vous savez ! Sybile, ma queue. Bien, l’autre, celui sur la maison. Il est bien mais, un peu trop strict. J’aime avoir du moût. Du calme sale chienne ! Pardon, alors, oui, je veux plus de liberté en cas de sinistre. Par exemple me laisser le choix de l’entreprise pour réparer les dégâts, il n’y a pas de clause qui me laisse cette option. Et puis lààà, ouch, oooh pourriez-vous me passer cette cravache derrière vous, sur la crédence... Merci. Tu vas te calmer oui ou non !
Là, mon client sort cette femme de dessous la table en la tenant par ses cheveux. En se levant, il la repousse du pied et la frappe d’une bonne dizaine de coups et pas tendres. La femme ne crie pas, ne se protège pas. Après chaque coup, elle dit même merci Maître. Je suis effrayée autant que subjuguée. En fait, ma petite voix me dit de fuir aussi vite que je peux. Mais il y a que mon corps, lui, refuse de bouger. Si j’ai peur, pas qu’un peu. Je devrais me jeter sur l’homme, lui arracher sa cravache mais je n’y parviens pas, incapable de remuer le petit doigt. Peut-être est-ce de la curiosité malsaine ou... Ou quoi du reste ? Mince, je me rends compte que je mouille, c’est horrible de mouiller devant une femme qui visiblement souffre sous les coups de cravache assenés violemment par cet ...