Annie, nympho et je ne me soigne pas. (9) - Histoires de Sexe

Annie, nympho et je ne me soigne pas. (9)

... souffle. J’attends un petit moment. Les trois amis regardent attentivement, Francis tout particulièrement.

— Tu as déjà fait ça ? me demande-t-il. Enculer un mec ?

— Oui; à de nombreuses reprises; mais tous n’aiment pas. Ceux qui aiment en redemandent.

Je tire sur les hanches de mon chéri, il est emmanché à moitié, je me retire tout en laissant le gland à l’intérieur. La verge que j’ai en moi fait son œuvre. Je coule. J’enfonce un peu plus le pieu. Il s’accroche à la bâche, mais ne dit rien. Il sait que c’est maintenant inutile. Je le défonce à fond, il se regarde dans le miroir. Il se mord les lèvres. J’y vais gaillardement. Il jouit, je prends mon pied. J’y vais fort. Je me couche sur son dos et lui mords la nuque. Il bande comme un âne.

Hellène chevauche Francis qui se gave de la chatte de sa femme.

Je décide de mettre fin à cette folle chevauchée. Je m’allonge sous lui et prends son sexe en bouche. Je le pompe comme une folle, comme si ma vie en dépendait. Je reçois son sperme chaud et abondant. Je l’avale avec délectation. Je lui lave la bite. Il ne débande pas, mon salop.

Hellène reçoit la semence au fond de sa matrice. Edwige s’écroule sur le côté de son mari.

On se relève tous, sauf ma grenouille, il récupère. Je m’absente un petit moment pour enlever la ceinture et la laver. Je pense qu’elle nous sera souvent utile. Je rejoins ce petit monde. Ils ont ouvert la bouteille de vin et s’empiffrent de petits-fours chauds. Le sexe, cela creuse.

Je me mets à califourchon et dos à mon mec, et je m’empale sur sa verge.

— Tu as aimé ? lui dis-je à l’oreille.

— C’est surprenant, mais pas désagréable.

— On recommencera ?

— Pas impossible.