Annie, nympho et je ne me soigne pas. (9) - Histoires de Sexe

Annie, nympho et je ne me soigne pas. (9)

On s’est couché tard, blaguant et riant. Olivier doit s’occuper du ballon d’Hellène demain matin. On s’endort, comme à mon habitude, dos à lui et sa grosse queue dans ma main.

Mon radio-réveil indique 08 h 00. Je suis seule, je me dégourdis et me détends. Je suis pleine de courbatures. Je passe à la douche. J’ai deux minutes pour vous la décrire. Grande vasque, un énorme placard et une immense douche à l’Italienne. Une fenêtre qui donne sur le balcon permet l’aération de cet endroit. Voilà, voilà, le pied quoi ! Je prends une douche bien chaude au départ pour me laver entièrement, suivie d’un jet glacé pour raffermir ma peau. Mes tétons se dressent, comme d’habitude. Je vais à la cuisine où m’attendent mon café et un croissant. Le petit mot est des plus mignons. "Je t’aime, mon amour. Je fais changer le ballon de la vieille et ensuite la tournée des poubelles. Si le cœur te dit pour un coup de que...De mains. Bises". Quel gros vicieux !

Je regarde par mon balcon et j’aperçois mon Roméo pousser les lourds conteneurs. Il vient de commencer, il est à la tour de sa loge, la "A". Je décide d’aller rendre visite à Hellène. J’enroule un paréo autour de ma poitrine et descends par les escaliers. Sans que je tape, elle me crie :

— Entre, c’est ouvert...

Je pousse sa porte. Elle est enrubannée dans une grande serviette. On se fait la bise et m’invite sur son balcon.

— Les ouvriers sont là. Ils en ont pour une petite heure. Après on fait quoi ?

— Les courses, mon ...

... frigo et mes placards crient famine...

— Je crains que le mien aussi.

Après avoir offert une petite bière aux ouvriers et attendu qu’ils repartent, je remonte chez moi m’habiller. On se rejoint en bas. Elle me tend les clés de sa voiture. Je lui souris.

On est dans le centre commercial de La Valette. Après avoir fait nos courses, elle m’invite à boire un verre à la cafétéria. Elle s’assoit à côté de moi.

— Putain, une bonne bière...

Me sachant sans culotte, elle remonte délicatement et discrètement ma robe courte et me caresse mon abricot. Je suis déjà trempée. Elle ressort sa main et la porte à sa bouche.

— Tu es délicieuse. Tu le sais ça ?

Je mets ma main sur mon sexe et y enfonce deux doigts et je les porte à sa bouche.

— C’est encore meilleur comme ça, non.

Elle déguste mes doigts un à un. C’est excitant !

On est de retour chez nous. Dans l’ascenseur, j’ôte ma robe et mes espadrilles. Elle reste habillée, mais pas inactive. Elle prend mes tétons entre deux doigts et me les tire, me les tourne, me les pince et m’embrasse. On arrive à mon étage. Je prends mes cabas et sors complètement nue. Elle me regarde m’éloigner, je me dandine du cul. L’ascenseur remonte.

Je range mes courses, il y a bien longtemps que mon frigidaire et les placards n’ont pas été aussi pleins. Toujours nue, je repense au mot de mon chéri. Je vais à mon balcon, mais j’entends toquer. C’est Hellène. Elle m’annonce qu’elle ne peut pas prendre sa douche chez elle, le cumulus ne ...