Annie, nympho et je ne me soigne pas. (9)
Datte: 28/08/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: tomy83, Source: Xstory
... folle ? Oui, je suis folle...Folle de sexe; et de sentir ce bijou anal me maintient en transe. J’étale une des deux bâches, et m’installe le cul bien haut, pour que mon chéri finisse de me remplir. J’entends la porte d’entrée se refermer. Ouf, juste à temps. Il dépose les courses et me voit à quatre pattes.
— Tu es passée dans une lessiveuse ?
Cette réflexion me fait rire. Mon corps porte les stigmates des quatre salops qui ont abusé de moi. Olive est en train de me filmer dans cette position humiliante. Il s’est mis nu et bande comme porc. Il me retire le "plug" et je sens le sperme couler sur mes cuisses. D’un coup, il me rentre son chibre dans mes intestins, c’est un autre calibre. Je m’affale sur mes avant-bras. Il me filme toujours, je le vois dans le grand miroir qu’il a judicieusement installé. Il nous filme dans son reflet, revient sur mon cul.
— Putain, je vais venir !!! crie-t-il.
Il me lâche des salves impressionnantes de sa liqueur, se retire; et ce pervers me remet le bouchon.
— Oh, mon salop.
— Oui, ma salope, je t’aime.
On reste lové un bon moment à se bécoter, se caresser. Puis on se lève et l’on range les courses. Tout y est, je suis reconnaissante envers mon p’tit homme en le branlant.
— Doucement, ma chérie, il faut me préserver pour demain.
Il a raison, je vais à la douche. J’ôte mon bouchon et je sens tout le sperme s’écouler sur mes cuisses.
— Putain, ils m’ont mis la dose.
Après avoir fait un petit somme, je retrouve ma ...
... grenouille dans la cuisine avec un tablier. Etonnant, mon petit chou sait-il cuisiner ? En tout cas, cela sent vachement bon. Il m’installe à la terrasse. Je regarde l’horloge de la cuisine. 21 h 00 ! J’ai dormi presque neuf heures ?
— Tu étais tellement belle, tellement bandante, que je n’ai pas voulu te réveiller.
— Pouf...Cette cavalcade m’a mise KO !
— J’imagine; et il faut que l’on soit en forme pour demain. Ce soir, je dors dans ma loge.
Cette annonce ne me réjouit guère, mais il a raison. Je l’adore mon p’tit mec.
Après une nuit réparatrice, je me lève en pleine forme. Douche, petit-déjeuner. Le train-train quotidien, sans mon chéri. On toque; c’est Edwige et Hellène. Elle se rue vers la cuisine pour se débarrasser les bras. Elles se mettent nues sans complexe. On boit un petit café.
13 h 00, mon amour est rentré de je ne sais où. Il m’isole dans la chambre et sort de son sac à dos trois mignons bijoux anaux. Il compte sur moi pour les donner à mes deux copines. Il ressort nu de la chambre avec une belle érection. Il part embrasser les femelles.
— Je suis passé chez ton esthéticienne, et hop, plus un poil.
Il est vrai que cela lui fait un cul rebondi, un cul de gonzesse. Ce soir, je le dépucelle. Je demande à mon amour, lui demande de se faire un lavement. Il me regarde avec étonnement, mais se plie à mon exigence. Je donne à chacune le petit bijou. A l’aide de vaseline, elles se l’insèrent. Moi, j’avais déjà le mien en place. C’est un bonheur ...