1. Annie, nympho et je ne me soigne pas. (9)


    Datte: 28/08/2019, Catégories: Trash, Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... chauffe que la nuit. Elle qui voulait se délasser. Bien évidemment, je l’invite. Elle prend la direction de ma salle de bain. Elle a ouvert la fenêtre, je l’entends soupirer, râler. Serait-elle en train de se masturber ? J’en ai la confirmation en la matant par la fenêtre. Elle est dos au mur, la douche coupée et ses deux mains s’activant sur sa chatte et sur son cul.
    
    — La coquine, me dis-je. Elle veut de la bite, elle va en avoir.
    
    Je cours dans ma chambre. Je mets un gode plus gros sur la partie que je dois rentrer en moi. Je suis tellement excitée que cela rentre tout seule. Je fixe les sangles et choisis un double gode. Je vais lui casser le cul tout en lui baisant sa chatte.
    
    Je me dirige doucement vers la douche. Elle s’est retournée, la face contre le mur. Tout doucement, je m’avance vers cette croupe offerte. Je pose le gland du plus grand sur ses lèvres. Elle sursaute et me regarde par-dessus son épaule. Je pousse lentement et le plus petit trouve seul son chemin. Elle a dû graisser son conduit, je vois le tube de vaseline sur le rebord du lavabo. Elle recule sur mon sexe. Elle souffle de bonheur.
    
    — Tu veux de la bite ?
    
    — OUIII. Je veux TES bites.
    
    Je commence lentement à la limer, mais elle pousse son fessier sur mes deux sex-toys. Alors j’accélère en lui claquant les fesses. Je jouis, elle jouit en criant qu’elle n’est qu’une vieille pute, un sac à foutre, une vide-couilles. Je referme la fenêtre de peur que l’on entende ses cris. J’y vais à fond ...
    ... jusqu’à ce qu’elle s’écroule sur le carrelage. Je rallume la douche et m’en vais ranger ma ceinture après avoir lavé mes deux sex-toys.
    
    — Merci, ma chérie, me dit-elle en me rejoignant sur ma terrasse, tu m’as comblé. Je redeviens nympho comme dans mes jeunes années.
    
    — De rien, ma belle. Le plaisir a été aussi pour moi, lui dis-je avant de la prendre dans mes bras et de l’embrasser.
    
    Bon, assez de câlins, je vais préparer une Bolognaise pendant qu’Hellène met l’eau à chauffer pour les spaghettis. On travaille à l’aise dans cette grande cuisine américaine.
    
    11 h 00, on sonne à mon interphone. C’est Evelyne. On ne se rhabille pas et l’accueille avec joie. Elle est venue nous faire voir son épilation laser autour de sa chatte. Elle se déshabille et tourne sur elle-même.
    
    — Francis aussi il y est passé. Il est tout doux, des pieds à la tête. Merci, Annie.
    
    Je mets un quatrième couvert. Evelyne semble tout à fait à l’aise avec sa nudité, Francis un peu moins. Elle sourit, mais on n’en saura pas plus.
    
    Ma grenouille arrive. Il part à la douche. Par la fenêtre, on peut le mater. On est comme trois ados qui regardent l’interdit pour la première fois. Il est peut-être frêle, mais la taille de sa queue lui pardonne tout. Il se savonne la tête d’une main et de l’autre son sexe. On quitte notre lieu d’observation. On s’assoit à table.
    
    — Sa bite est grosse, dit Evelyne. Bien plus longue que celle de Francis.
    
    — 25 par 6. Je l’ai mesurée.
    
    — Tu en as de la chance !
    
    — ...
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