1. Annie, nympho et je ne me soigne pas. (9)


    Datte: 28/08/2019, Catégories: Trash, Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... celles-ci sont bien plus costaudes et lavables. Je lui demande aussi de l’huile de massage. Il me sort un flacon de un litre de l’étagère.
    
    — Elle est totalement comestible, me dit-il en frottant sa queue dans mon sillon fessier, parfum ananas ou...Banane.
    
    — Hum, intéressant.
    
    Je lui mets la main au paquet tout en me retournant. On se regarde avec l’envie de baiser. Il me plaque au mur et m’embrasse. Ce premier échange est plus que prometteur. On échange nos salives, on se bouffe le museau. Il remonte ma jupe et sourit quand il sent ma totale nudité. Je ne suis pas restée inactive, j’ai fait tomber son jean sur ses chevilles. Pas de slip et sexe glabre. Je lui retire son tricot. Il sent l’homme et j’aime cette odeur, cela m’excite. Je retire mon tee-shirt et ma jupe. Je suis nue devant ce beau mec qui se débarrasse de son futal. Je me jette sur ses tétons. Il apprécie, mais quand je me baisse pour le sucer, il me retient.
    
    — Non, on n’a pas le temps, le patron va arriver.
    
    Il me retourne face au comptoir. Je m’appuie dessus, bras tendus, offerte. Il n’y va pas avec le dos de la cuillère; il me pourfend d’un seul coup; facile, je mouille comme une salope. Il y va fort. Il me tient par les hanches, me donne des fessées appuyées. Je jouis déjà et le fais entendre.
    
    — Oui, mon salop. Défonce-moi...
    
    Il redouble d’ardeur. Son pubis vient claquer sur mes fesses. On est tellement concentré sur notre plaisir, car oui, je prends mon pied, que l’on n’a pas vu rentrer le ...
    ... patron et deux de ses amis. Je m’aperçois de leur présence quand j’entends le tabouret se déplacer.
    
    — Allez, salope. Fais-nous gicler sur ta p’tite gueule de pouffiasse.
    
    Ils sont tous les trois en train de se branler. Je prends la bite du patron dans les mains. Elle pue, elle sent l’urine et la sueur. Les trois bites sentent fort; il y a une qui a même du "fromage" à la base de son gland. Le mec qui me ramone la chatte transpire et décide de changer de trou.
    
    Il présente sa queue sur mon anus et pousse avec la délicatesse d’un éléphant dans un magasin de porcelaine, je m’en fous, j’aime aussi la bestialité, la brutalité dans l’accouplement. De mon côté, je me régale de ces trois bites. Je les lave et me gave de leur odeur. Bientôt, il me laisse la bouche tranquille pour venir s’agglutiner derrière moi. Ils me frappent mes fesses, me tirent mes tétons plus que de raison. Le patron a même pris un "Paddle" pour me faire souffrir. Toutes les parties de mon corps sont maintenant rouges. Mes seins, mon dos, mes fesses me brûlent. Le jeune (il a mon âge) décharge enfin, suivi par ses trois compères qui m’enculent tour à tour. C’est rempli jusqu’à la gorge que le patron m’obture l’anus avec un plug anal. Je suis pleine.
    
    Il m’offre les flacons et les alaises. Je remets ma jupe et mon tee-shirt.
    
    — Tu reviens quand tu veux, me dit le patron, tu es la bienvenue.
    
    — Oui, merci messieurs.
    
    Je leur fais un smac. Le retour chez moi est rapide. Une idée germe en moi. Suis-je ...
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