Annie, nympho et je ne me soigne pas. (9) - Histoires de Sexe

Annie, nympho et je ne me soigne pas. (9)

... Francis est plutôt bien monté. Moins longue, mais plus grosse.

Ma rainette fait son apparition.

— Alors les filles, on parle chiffons ?

— On peut dire ça !

On éclate de rire. Mon chéri n’a pas trop de temps. On zappe l’apéro. Il avale une plâtrée impressionnant de pâtes et part s’allonger pour digérer. Après une demi-heure, il repart et nous dit qu’il sera de retour vers 17 h 00. Je me lève et vais l’embrasser sur le pas de la porte.

— Je t’aime...

— Ma chérie, je t’aime.

Je le regarde descendre par l’ascenseur.

On est toutes les trois en train de discuter de choses et d’autres. Discrètement, je compare nos chattes. Evelyne a les lèvres serrées, une chatte de jeune fille. Hellène a une entrée de tunnel. Ses grandes et petites lèvres découvrent son clito et son puits d’amour. Quant au mien, il est tout mignon. Mes grandes lèvres joufflues montrent mes petites lèvres et mon clito. Pour l’instant, il est endormi, caché, mais il ne m’en faut pas beaucoup pour qu’il mesure 4 centimètres. Je suis fière de lui.

Evelyne semble gênée, elle n’ose pas parler.

— Evelyne semble avoir un secret à nous avouer, je me trompe ?

— Non; pas un secret, me répond-elle, juste une envie; mais je ne sais pas comment vous le demander. Bref, j’ai envie d’organiser une soirée avec vous trois et mon époux, un bon repas; mais chez moi, impossible. On est au rez-de-chaussée. Et je suis piètre cuisinière, il va falloir m’aider.

— Pas de soucis pour moi, dit Hellène en me ...

... regardant.

— Ça me va. On fait ça ici. Il faut que je rachète du pastis et des alèses, car je sens le coup venir. On fait ça après-demain soir. Ma grenouille posera une journée.

On rigole et l’on se quitte tout excitée.

Au retour de mon petit homme, je lui annonce notre projet de demain soir. Il a posé deux jours, jeudi et vendredi, se doutant que l’on préparait quelque chose. Je lui saute au cou.

Le soir, épuisé, il s’endort avec sa queue dans ma main.

Le lendemain, on ne se lève pas très tôt; 08 h 30. Il met un point d’honneur à me servir mon petit-déj sur la terrasse. Il me dit qu’il allait faire des courses, si j’avais quelque chose à prendre. Je lui dis pour le pastis, le vin et un apéro pour les femmes. Je vais pour lui donner de l’argent.

— Hors de question. Tu me nourris déjà matin midi et soir. Pas besoin.

Il se lève, je finis mon petit-déjeuner. Il prend ses clés, m’embrasse amoureusement. Que j’aime ces moments où il me palpe les fesses ! Je le regarde dans les yeux.

— Reviens vite, j’ai envie.

Il part en me souriant; qu’il est craquant ! Je m’habille d’un tee-shirt, d’une jupette, enfile mes espadrilles et pars en direction du sex-shop. Eh oui, j’ai quelques courses à faire.

Le beau gosse est derrière son comptoir. Il me sourit, je le lui rends.

— Bonjour, avez-vous des bâches ?

— Non, il vous faut aller dans un magasin de bricolage.

Cette note d’humour me plaît. Il vient derrière moi et me donne deux pochons. Il me dit que ...