Le mariage de mon cousin
Datte: 27/08/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
oncletante,
groscul,
poilu(e)s,
jardin,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Pedro, Source: Revebebe
... tante n’avait pas une expérience très poussée dans l’art de la masturbation. Mais le fait d’être branlé par une femme de plus de cinquante ans aux doigts quelque peu rêches, qui de plus se trouvait être la femme de mon oncle, m’excita étrangement. Pas très douée pour ce genre d’attouchements, tante Marie avait une façon bien particulière de me caresser. Elle activait énergiquement sa main refermée, de bas en haut le long de mon membre dressé, repoussant à l’extrême la peau mobile de mon prépuce, comme si elle voulait la déchirer. Puis tout aussi vigoureusement elle la remontait sur mon gland, recouvrant entièrement celui-ci. Une comparaison me vint à l’esprit : Marie agissait à la manière d’une ouvrière à la chaîne, pressée de terminer son labeur, et pas comme une femme désirant procurer du plaisir à son compagnon. Pauvre tonton ! Mais mon excitation était telle que malgré le manque de sensualité de cette masturbation, je sentis peu à peu le plaisir irradier mes entrailles. Au bout de deux ou trois minutes de ce traitement actif, je compris que je n’allais pas tarder à éjaculer. Ne sachant comment Marie allait réagir à ma jouissance, je préférai la prévenir de l’imminence de mon éjaculation :
— Attention tantine, je sens que ça vient. Je vais tout lâcher !
Alors que je m’attendais à ce que Marie accélère sa masturbation pour me faire rapidement jouir, elle goba mon gland gonflé, tout en continuant de branler énergiquement la partie de ma verge restée hors de sa bouche. ...
... C’était trop pour mes sens en ébullition ! Dans un grognement bestial, je m’abandonnai à l’orgasme et lâchai ma semence en rafales répétées. Attentive à mon plaisir, consciencieuse, ma tante avala la totalité du sperme que je lui offrais généreusement, sans cesser pour autant de me branler. Ce n’est que lorsqu’elle se rendit compte que plus aucune salve ne jaillissait de ma queue immobile qu’elle se décida à recracher ma virilité momentanément apaisée.
— T’en avais une sacrée réserve ! s’exclama-t-elle en s’essuyant les lèvres. Il y a longtemps que tu ne t’étais pas vidé les couilles ? En tout cas, je te remercie de ne pas en avoir foutu partout.
— Merci à toi, tantine, tu m’as fait du bien. J’en avais vraiment besoin. Tu sais, dans l’état où se trouve Michèle, il n’est pas question que je lui fasse l’amour… Grâce à toi, je me sens mieux, tu m’as vidé les couilles.
— C’est vrai ? me sourit Marie, ravie. Jusqu’à quand ?
— Au moins jusqu’à demain, plaisantai-je.
Après un moment de silence, Marie me murmura :
— Tu sais, il y a longtemps que je n’avais pas fait ça… Tu as aimé ? Je n’ai pas trop été maladroite ?
— Rassure-toi, tu as été divine, lui rétorquai-je. Moi aussi, il y a longtemps que je n’avais autant joui…
— Ah ça ! Je m’en suis rendue compte, me sourit Marie. J’ai bien failli m’étrangler ! Tu avais une sacrée provision…
Ne voulant pas me montrer égoïste, je m’empressai de proposer à ma tante de lui rendre la pareille :
— Et toi ? Tu n’as rien eu… Tu ...