Le mariage de mon cousin
Datte: 27/08/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
oncletante,
groscul,
poilu(e)s,
jardin,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Pedro, Source: Revebebe
J’éprouvai tout d’abord une immense joie lorsque je reçus le faire-part de mariage d’un de mes cousins, m’invitant moi et Michèle, mon épouse, à ses noces. Mais cette joie fut vite remplacée par une amère déception. Du fait d’un grave accident de ski ayant occasionné une fracture de la hanche, ma femme se trouvait contrainte à une immobilité forcée. J’allais donc être obligé de m’excuser auprès de mon cousin.
Comprenant mon amertume, Michèle sachant que dans notre famille nous attachions une grosse importance aux fêtes familiales, me conseilla de me rendre quand même à la cérémonie, ses parents habitant près de chez nous viendraient s’occuper d’elle et de nos deux enfants. Après réflexion et m’étant assuré que mon épouse ne manquerait de rien durant mon absence, je prévins mon oncle Eugène, l’un des frères de mon père et frère du père du futur marié que je serais chez lui le vendredi soir.
Comme prévu j’arrivai donc sur le coup des vingt heures chez mon oncle, dans la campagne autour de Guéret. J’avais bien roulé, c’était le début de l’été, la route ne m’avait posé aucun problème. Après les bises de convenances pour ces retrouvailles et mes explications pour l’absence de mon épouse, nous parlâmes de la pluie et du beau temps devant un bon petit pastis, pendant que Marie, ma tante, préparait le repas.
Eugène, ancien inspecteur des postes était à la retraite depuis un an, et il partageait ses loisirs entre le jardinage, la chasse et la pêche ce qui correspondait ...
... parfaitement à la convivialité et à la joie de vivre de ce personnage. C’est ainsi que j’appris quelques histoires de mes cousins et cousines, où en étaient leurs amourettes. Ils avaient quelques années de moins que moi, mais jusqu’à mes dix-huit ans, je venais passer mes vacances dans la région. Nous avions fait les cents coups ensemble, j’avais dragué pas mal de leurs copines, mais surtout nous nous faisions pas mal d’argent de poche en revendant les cèpes que nous trouvions dans les bois du coin… Nous étions déjà la joie de vivre.
De sa cuisine, tante Marie participait à notre conversation et se désolait que pas un de ses trois garçons ne soit encore marié… et de ne pas être grand-mère.
Au fil des verres de Pastis, je constatai que mon oncle était en pleine forme, car en une demi-heure, on s’était tapé pas loin de six verres, et moi, qui n’y étais guère habitué, je commençai à me sentir quelque peu vaseux. D’ailleurs, lorsque ma tante nous appela à table et qu’elle découvrit nos regards brillants et le niveau de la bouteille, elle ronchonna :
— Ce n’est pas bien malin de faire boire ainsi Robert. Remarque, il est assez grand pour savoir se tenir ! Mais toi, tu vas voir que tu vas encore être malade, et demain, je ne te dis pas, tu ne vas pas pouvoir mettre un pied devant l’autre.
Ne tenant nullement compte des remarques de son épouse furieuse, mon oncle ouvrit une bonne bouteille pour le repas. Jugeant que j’avais mon compte d’alcool, je m’en tins à l’eau, bien que ...