Le mariage de mon cousin
Datte: 27/08/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
oncletante,
groscul,
poilu(e)s,
jardin,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Pedro, Source: Revebebe
... veux que je te donne un peu de plaisir, comme tu l’as fait avec moi ?
— Tu sais, mon chéri, je suis une vieille femme… répliqua Marie d’une voix angoissée. Tu veux vraiment ?
Pour toute réponse, je l’attirai à moi et, déposant un chaste baiser sur son front ridé, je saisis le bas de sa jupe pour la retrousser. Mais ce que je découvris calma quelque peu mes élans… Marie portait un corset qui lui ceinturait les hanches, la taille et les seins. Je n’avais encore jamais vu ce genre de gaine. Peu de femmes aujourd’hui, où la mode était au string, utilisaient ce type de tenue !
Ma surprise passée, je glissai mes doigts entre les cuisses grassouillettes de ma parente pour atteindre l’entrejambe de sa culotte. Je ne fus pas spécialement étonné de trouver celle-ci largement humide. La masturbation et la succion de ma verge avaient quelque peu excité Marie.
— Eh bien ! Pour une vieille femme, tu mouilles autant qu’une jeune, tentai-je de plaisanter.
— C’est vrai, avoua Marie dans un souffle. J’ai éprouvé un immense plaisir, quand tu as joui dans ma bouche… Il y a si longtemps que ça ne m’était pas arrivé.
— Tu ne suces pas tonton ? la taquinai-je.
— Oh ! Tu sais, avec ton oncle, il y a longtemps que nous n’avons plus vraiment de relations amoureuses… Quand il a envie de se vider les couilles, ce qui lui arrive d’ailleurs de moins en moins souvent, il me prend à la va-vite. Cinq minutes de va-et-vient, il me lâche sa sauce dans le ventre et il s’endort… Que j’éprouve du ...
... plaisir est le dernier de ses soucis…
Je restai sidéré à l’écoute de ces confidences. Ainsi, avec le temps, un couple pouvait perdre tout amour… Ces deux êtres qu’étaient mon oncle et ma tante avaient certainement dû s’aimer, à un moment de leur existence. Ils avaient dû, comme tous les amoureux du monde, se donner du plaisir chaque fois qu’ils en avaient la possibilité. Comment, trente ans après, cet amour a-t-il pu se transformer en simple tendresse - et encore ?
Voulant montrer à ma tante toute l’affection que je lui portais, je l’embrassai tendrement à la commissure de ses lèvres et lui murmurai :
— Laisse-moi faire, tantine… Je veux, moi, te donner le plaisir auquel tu as droit !
Remontant mes doigts jusqu’à la ceinture de la culotte de nylon, j’entrepris alors de la baisser complètement, dénudant le bas-ventre de ma parente. Un bas-ventre abondamment velu. Tante Marie possédait une toison incroyablement épaisse et encore bien brune. Je me laissai tomber à genoux aux pieds de ma malheureuse compagne, afin d’avoir le visage à la hauteur de son mont de Vénus broussailleux. L’odeur épicée émanant de l’entrejambe dénudé me chatouilla les narines. Éprouvant un étrange désir devant ce pubis quinquagénaire, dont aucun fil blanc ne venait rompre la monotonie, j’entrepris de caresser la longue fente sexuelle, encore cachée au milieu de sa luxuriante forêt. Je commençai par gratter longuement les grandes lèvres sexuelles, cherchant le merveilleux bouton parmi les replis ...