1. Le mariage de mon cousin


    Datte: 27/08/2019, Catégories: fh, extracon, oncletante, groscul, poilu(e)s, jardin, intermast, Oral pénétratio, fsodo, Auteur: Pedro, Source: Revebebe

    ... sonores d’oncle Eugène. Machinalement, je m’attardai sur la colonne vertébrale de ma compagne, la massant de plus en plus sensuellement sans vraiment m’en rendre compte.
    
    À un moment, dans un mouvement tout à fait involontaire, j’appuyai plus fortement sur les reins de Marie. Je ne sais ce qui se passa alors dans la tête de ma tante, mais je sentis brusquement son ventre se presser contre le mien. C’eût été quelque chose de naturel si l’on avait tenu compte de son chagrin, mais pour moi, il y eut vraiment un contact physique et je ressentis une véritable décharge électrique me traverser les entrailles. Ma verge qui, doucement, était retombée en état de semi-érection, se redressa brutalement de toute son arrogance. Malgré sa peine, ma tante se rendit compte immédiatement de mon état.
    
    — Hé bien, mon petit, qu’est-ce qui t’arrive ? C’est moi qui te fais cet effet ? Ça se voit que ta femme n’est pas trop valide en ce moment !
    
    Mais malgré cette dureté déplacée qui devait lui meurtrir le bas-ventre, tante Marie ne bougea pas, n’essaya pas un instant de se soustraire à ce contact inconvenant. C’est moi qui, quelque peu gêné par cette érection mal venue, tentai de m’écarter de ma parente. Immédiatement, cette dernière se recolla à moi, cherchant visiblement à garder le contact avec ma virilité gonflée. Il me sembla même que Marie éprouvait un certain plaisir à frotter son pubis à cette barre durcie qu’était devenue ma verge. Avec émoi, je la sentis soudain onduler ...
    ... insensiblement des hanches, frottant presque délicatement son ventre contre mon sexe.
    
    J’avais beau me dire que c’était ma tante que je tenais contre moi, la propre belle-sœur de mon père, je ne pouvais rester insensible à ce frottis langoureux… Je ne savais vraiment pas comment me tirer de ce mauvais pas. Devais-je repousser brutalement cette quinquagénaire dévergondée ou bien laisser nos sens nous guider ? Les bruits des ronflements de l’oncle Eugène semblèrent doubler de puissance. Les larmes salées de Marie s’imprégnaient sur mes lèvres. C’est cette dernière qui prit soudain l’initiative des opérations. D’une toute petite voix, presque inaudible, comme si elle avait honte de ce qu’elle allait me proposer, elle me murmura à l’oreille :
    
    — Je ne peux pas te laisser dans cet état, mon petit Robert… Tu… veux que je te… je calme ton… envie ?
    
    Que pouvais-je répondre à pareille offre ? D’ailleurs, avant que j’aie pu émettre le moindre avis, tante Marie avait déboutonné ma braguette. Comme je ne m’opposais pas à son idée, elle continua en dégrafant ma ceinture puis, sans un mot, elle baissa mon pantalon et s’affaira sur mon slip qu’elle baissa à son tour, libérant mon membre viril extrêmement tendu. Se saisissant alors fermement de ma verge, elle s’exclama :
    
    — Mon Dieu, t’es pas aussi gaillard que ton oncle, mais t’es quand même bien monté !
    
    Oubliant son chagrin, Marie commença alors à me branler maladroitement, me serrant trop fortement la queue. C’est certain que ma chère ...
«1...345...15»