1. Le mariage de mon cousin


    Datte: 27/08/2019, Catégories: fh, extracon, oncletante, groscul, poilu(e)s, jardin, intermast, Oral pénétratio, fsodo, Auteur: Pedro, Source: Revebebe

    ... deux joues. J’appris ainsi qu’elle était mariée, mais que son mari, actuellement au Kosovo, n’avait pu avoir une permission.
    
    — J’espère que tu es de la soirée et qu’on aura l’occasion de se voir…
    — Je l’espère, moi aussi. Allez, à tout à l’heure.
    
    Je ne vis pas passer la cérémonie de la mairie. Je déconnais avec mes cousins tout en n’ayant en tête qu’une chose : c’était de trouver un plan pour essayer de choper Françoise. Je me rendis compte que celle-ci avait rejoint son groupe. Je me dis que c’était jouable… Je me retournai et tombai sur ma tante.
    
    — Regarde bien où tu mets les pieds, me prévint cette dernière. Elle est mariée, et tout le monde ici la surveille et va se faire un plaisir de tout raconter à son mari. Alors si toi tu risques rien, pour elle, tu dois faire attention.
    
    Putain, comment il faut faire gaffe ! Mais merci ma tante, je m’en serais douté. Elle continua sur un autre mode.
    
    — T’en as pas eu assez cette nuit et ce matin ? Si tu veux savoir, je peux te dire que moi, j’ai mal aux fesses.
    — Tu sais bien, tatie, qu’à ce jeu, un mec ne s’arrête jamais…
    
    Elle rit de bon cœur.
    
    — T’as bien raison, Robert ! Bon, mais à partir de maintenant, essaie de penser à autre chose, on ne va pas s’arrêter de bouffer jusqu’à demain. D’ailleurs moi, je me mets au régime à partir de la semaine prochaine.
    
    En effet, dans ces campagnes, la noce peut durer depuis le samedi matin jusqu’au dimanche midi. Et pour celle-ci ça semblait bien parti. J’espérai que l’on ...
    ... n’allait faire qu’un repas léger pour le midi, car on était peu nombreux. Je m’en retournai vers mon oncle Eugène et lui conseillai de démarrer au Perrier, car sinon l’après-midi allait être dure avec les occasions… de trinquer et cette satanée chaleur.
    
    On mangea. Je surveillai toujours mon oncle Eugène du coin de l’œil et je constatai avec plaisir qu’il était resté à l’eau, même pour le repas. Sa femme était radieuse, et tous deux étaient d’un entrain remarquable. Mais il fallait se presser, aller se changer pour certaines femmes, car la cérémonie religieuse avait lieu à seize heures.
    
    La chaleur était vraiment intenable, tout le monde ruisselait… L’arrivée dans l’église apporta à chacun cette fraîcheur qu’on ne trouvait nulle part ailleurs. La cérémonie fut simple et chaleureuse ; toute l’assistance était émue.
    
    La bouffée de chaleur qui nous frappa lorsqu’on sortit nous accabla de plein fouet, et chacun chercha l’ombre des arbres. Restait encore l’épreuve de la photo, et c’est ce qui provoqua une dizaine de malaises, surtout parmi les plus anciens, mais personne ne fut épargné ; c’est ainsi que l’un des témoins s’évanouit peu après. C’est donc moi qui pris sa place pour conduire les mariés pour les photos du couple. Ils prirent place à l’arrière du véhicule et je me retrouvai avec… Françoise, la témoin de la mariée, à mes côtés.
    
    Le trajet dura vingt minutes, toujours avec cette satanée chaleur. À peine arrivés, les jeunes mariés s’engouffrèrent dans le studio et ...