1. Le mariage de mon cousin


    Datte: 27/08/2019, Catégories: fh, extracon, oncletante, groscul, poilu(e)s, jardin, intermast, Oral pénétratio, fsodo, Auteur: Pedro, Source: Revebebe

    ... ruisselante de mouille, que je pistonnais allègrement. Puis tout aussi rapidement je replongeais ma verge gluante dans le cul encore élargi. Tout en enculant frénétiquement tante Marie, afin d’atteindre rapidement la jouissance avant le retour de son mari, je lui fourrai deux doigts dans la chatte. Mais, un peu trop stressé par la proximité de mon oncle, j’éjaculai rapidement, sans pouvoir me maîtriser.
    
    Malgré tout, Tante Marie était euphorique.
    
    — Je suis toute neuve, tu m’as vidangé partout par où on peut entrer, plaisanta-t-elle. Je croyais qu’on ne me le ferait plus. Oh que c’était bon !
    
    Nous reprîmes aussitôt une tenue plus correcte avant le retour de l’oncle Eugène.
    
    — Je vais aller faire ma toilette à mon tour, me dit-elle avec un sourire charmant. Par contre de ce côté-la, je ne perds rien. Toute ta semence est restée en moi…
    
    Elle pénétra à son tour dans la salle de bain. Mon oncle chantonnait maintenant « Qu’est-ce qui va s’passer ce soir ! ». Je rangeai ma chambre, fis à mon tour ma toilette, m’habillai et me préparai à aller à la mairie.
    
    Nous embarquâmes tous les trois et arrivâmes sur la place où se pressaient déjà les membres de la famille. Je retrouvai mes cousins (dont le futur marié), mes cousines, mon autre oncle Édouard et sa femme, les parents du marié. Quel bonheur de les revoir ! Tous me demandèrent des nouvelles de ma femme. Je leur expliquai qu’elle en avait encore pour un mois au moins, avant d’être d’aplomb. Les retrouvailles, les ...
    ... présentations durèrent un petit quart d’heure avant que n’arrivent la mariée et les siens. La cérémonie en elle-même ne m’intéressait pas et je me demandais plutôt dans quel groupe j’allais me retrouver. J’avais cru comprendre qu’on serait près de deux cents pour la soirée. J’espérais être avec les jeunes, car il fallait que je mette un terme à toutes les conneries que j’avais faites depuis que j’étais arrivé. J’avais baisé ma tante Marie, mais ce n’était pas un acte de tendresse, d’amour. C’était le hasard des sens de l’un et de l’autre qui avait permis de concrétiser nos instincts animaux.
    
    Je revins au milieu de mes cousins. Je demandai quand même en déconnant s’il y avait de bons coups célibataires, ils se mirent tous à rire.
    
    — T’as pas changé, t’es toujours le même queutard !
    
    S’ils savaient combien j’en avais ratés, ils auraient encore pu se foutre davantage de ma gueule.
    
    — Tiens, regarde là-bas. Tu te souviens de Françoise ? Tu n’arrêtais pas de la draguer… Elle est témoin de la mariée.
    
    Je tournai mon regard vers une jeune brune, d’une beauté et d’une classe à couper le souffle, qui discutait au beau milieu d’un groupe et me tournait le dos. Je mis plusieurs secondes avant de me rappeler ce flirt de jeunesse avec qui j’avais joué souvent à touche-zizi… Mais encore une que j’avais ratée par maladresse ou inexpérience. Je ne voulus pas passer pour triste et m’approchai d’elle pour la saluer.
    
    — Françoise, quel plaisir !
    — Robert !
    
    Je l’embrassai sur les ...