Le mariage de mon cousin
Datte: 27/08/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
oncletante,
groscul,
poilu(e)s,
jardin,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Pedro, Source: Revebebe
... la douche. Ce qui me rassura pour la suite des évènements.
Je tentai alors d’enfoncer mon doigt dans l’orifice secret de tante Marie. Opération délicate, tant ma parente était étroite de ce côté-la. L’oncle Eugène n’avait pas dû souvent explorer ce territoire défendu. Je dus vraiment forcer pour arriver enfin à faire pénétrer la première phalange de mon doigt dans le cul resserré. Marie me fixait, les yeux agrandis et les traits soudainement figés. Comprenant que j’aurais énormément de difficultés à poursuivre mon désir, je m’apprêtai à y renoncer lorsque mon regard tomba sur la plaque de beurre du déjeuner, encore en évidence sur la table. Ce qui me donna aussitôt une idée pour faciliter l’introduction anale que je souhaitais.
Retirant mon majeur du cul récalcitrant, je le plongeai, ainsi que mon index, dans la motte ramollie. Je les agitai longuement afin de bien les lubrifier. Puis une fois mes deux doigts recouverts d’une épaisse couche graisseuse, je les dirigeai vers la croupe convoitée.
Ayant suivi chacun de mes gestes, Marie, avec un sourire souleva sa robe de chambre et me présenta son opulent derrière :
— Je n’ai pas été prise de ce côté depuis longtemps, me prévint-elle. Va doucement s’il te plaît.
Mais, désirant certainement me montrer sa bonne volonté, tante Marie s’accouda des deux bras sur la table de la cuisine, me présentant son fastueux derrière.
— Écarte tes fesses, commandai-je. Dégage bien ton cul !
M’obéissant, Marie lança ses ...
... deux bras dans son dos et, saisissant ses deux masses fessières de ses mains elle les écarta largement, m’offrant la vision affolante de son orifice anal, brun et plissé. Plaçant alors mes doigts enduits de beurre contre l’anus que quelques poils brunâtres entouraient, je le badigeonnai copieusement. J’enfonçai d’abord mon majeur dans ce pertuis que je massai de l’intérieur. Puis je tentai d’y joindre mon index qui glissa aisément, pour ma plus grande joie. Afin d’habituer ma tante à cette nouvelle pénétration, j’entrepris de faire coulisser un moment mes deux doigts accolés.
— Ça va ? me renseignai-je.
— Oui. Je crois que tu peux me la mettre ! Mais dépêche-toi, avant qu’il ne revienne !
Elle avait raison, l’oncle Eugène pouvait faire son apparition à tout moment. Tendant l’oreille, je l’entendis chanter dans la salle d’eau. J’avais encore quelques instants devant moi. Me plaçant derrière ma tante, je dirigeai mon gland gonflé face à l’orifice recherché et je commençai à pousser. J’enfonçai lentement mon membre, par petits coups, afin que tante Marie s’habitue à cette pénétration hors norme.
— Ça va toujours ? m’inquiétai-je.
— Oui, oui, je te sens bien… Dépêche-toi de jouir, il ne va pas tarder à revenir…
Les mains accrochées à ses larges hanches, je m’activai de plus en plus rapidement. J’enculai la femme de mon oncle, le frère de mon père, avec un plaisir extrême. De temps à autre, je me retirais du cul élargi pour enfoncer ma queue dans la chatte béante et ...