1. Le mariage de mon cousin


    Datte: 27/08/2019, Catégories: fh, extracon, oncletante, groscul, poilu(e)s, jardin, intermast, Oral pénétratio, fsodo, Auteur: Pedro, Source: Revebebe

    ... Demande à ton neveu !
    — C’est vrai, tonton. Tu aurais réveillé toute une caserne de pompiers ! renchéris-je, pour faire plaisir à ma tante et amante.
    
    Nullement contrarié par nos remontrances, Eugène finit lentement son café et, après un rot sonore, se dirigea vers la salle de bain en chantonnant. Je me dépêchai à mon tour de vider mon bol et aidai ma tante à débarrasser la table. Marie ne disait mot. Je tentai de la dérider :
    
    — Le soleil est de la partie, ça va être une belle journée, tu ne penses pas ?
    — J’ai peur que ça ne recommence comme hier, se plaignit-elle.
    — Comment, tu regrettes ?
    — Mais non, mon chéri… Je ne parle pas de ce que l’on a fait ensemble, mais de ton oncle…
    
    Étrangement, entendre ma tante me rappeler ce qui s’était passé la veille entre elle et moi déclencha en moi un début d’érection.
    
    — Ne t’en fais pas, tentai-je de la rassurer. On va faire en sorte de ne lui proposer que des boissons non alcoolisées. Je ferai en sorte de le surveiller.
    — Oh là ! Tu lui rendrais vraiment service… et à moi aussi…
    
    Elle se rapprocha de moi pour déposer une petite bise sur mes lèvres. Immédiatement je sentis ses mains se glisser sous ma robe de chambre. Avec un petit sourire complice, elle s’empara de ma bite et commença à me masturber lentement.
    
    — Tu es toujours en forme, même le matin, constata-t-elle.
    
    Ne désirant pas rester inactif, j’ouvris le peignoir qui recouvrait le corps de ma chaude tante. De nouveau son corps replet aux petits seins ...
    ... m’apparut dans sa totale nudité. Au bas de son ventre, l’épais triangle noir de sa toison formait comme un écu. Je glissai ma main droite entre ses cuisses potelées, cherchant la longue fente de sa chatte. Immédiatement, je dénichai son petit bouton déjà fort excité, que j’entrepris de frotter au même rythme que celui que tante Marie imposait à sa main le long de ma verge tendue. Marie ne tarda pas à accompagner le frottement de son clitoris d’une série de petits gémissements de plus en plus rapprochés à mesure que j’accélérais mes frottements.
    
    Jugeant au bout d’un instant que ma tante était suffisamment excitée par mes attouchements sur son bouton d’amour, j’en profitai pour tenter une caresse perverse qui, depuis un moment, me trottait par la tête. Insidieusement, je glissai ma seconde main en direction de l’opulente croupe qui ondulait doucement. Réussissant à glisser mon majeur entre les deux énormes rondeurs jumelles, j’explorai la profonde raie où se cachait l’orifice de mes désirs. J’eus un peu de mal à localiser l’anus de ma compagne tant celle-ci possédait de grosses fesses, et la fente qui séparait ces dernières était d’une profondeur inouïe : un véritable défilé. L’ayant enfin déniché, après maints tâtonnements, je le frôlai de mon majeur. Surprise par cet attouchement auquel elle ne devait certainement pas être habituée, ma tante cessa aussitôt de me branler, dans l’attente de ce que j’allais faire.
    
    Dans le silence soudain de la cuisine, nous parvint le bruit de ...
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