Le mariage de mon cousin
Datte: 27/08/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
oncletante,
groscul,
poilu(e)s,
jardin,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Pedro, Source: Revebebe
... véritable croupe de jument berrichonne, séparée en son milieu par un long sillon.
— Putain, tantine, quel cul ! félicitai-je. Écarte bien tes cuisses, cambre-toi pour bien dégager ta chatte ! commandai-je.
Impatiente de retrouver la présence de mon dard à l’intérieur de son sexe, Marie s’écartela au maximum. Le visage plaqué sur la descente de lit, elle écarta son opulent fessier à l’aide de ses deux mains, afin de me faciliter l’accès à sa grotte intime. Lui saisissant alors les hanches, je présentai mon gland gonflé à l’entrée de la faille sexuelle et d’un violent coup de reins j’enfonçai la totalité de ma verge dans le vagin torride, arrachant un long râle à ma victime.
— Alors ? Tu aimes ? ricanai-je en la bourrant dans un rythme effréné.
— Salaud ! Tu me défonces… Je sens le bout de ta queue jusqu’au fond de mon ventre !
— C’est meilleur qu’avec tonton ? persiflai-je, pervers.
— Oh oui, haleta Marie. Tu es tellement fort…
Je donnai libre cours à mes coups de reins. Geignant à la façon d’un nourrisson, Marie résista stoïquement à mon matraquage, les ongles plantés dans la chair tendre de ses fesses. Mais à la pistonner à cette cadence, je ne tardai pas à ressentir les prémices de la jouissance. Dans un râle inhumain, je déchargeai la totalité de ma semence dans le vagin élargi. Je restai planté dans le corps de ma tante, immobile, à attendre de reprendre mes esprits.
Ayant retrouvé une respiration normale, je me décidai alors à retirer ma verge du ...
... sexe gluant de ma tante. Celle-ci resta longuement le cul en l’air, prostrée, comme tétanisée. Les jambes flageolantes, je regagnai mon lit sur lequel je m’assis.
Se redressant enfin, Marie vint me rejoindre, une main à plat contre sa vulve :
— Qu’est-ce que tu m’as mis ! se plaignit-elle. C’est pas croyable que tu en ai encore autant ! C’était formidable… Il y a bien longtemps que je n’avais pris un tel pied !
Se penchant sur moi, elle déposa un léger baiser sur mes lèvres.
— Merci, mon chéri… Je ne suis pas prête d’oublier cette nuit… Bon, je file, je vais faire un brin de toilette. Regarde, j’en ai plein la main.
Me montrant sa paume, où en effet s’était répandu une petite quantité de mon sperme, elle la porta à sa bouche pour lécher d’une langue gourmande ma semence virile.
— Humm, c’est bon, me lança-t-elle avant de s’éclipser.
Sitôt ma tante partie, je sombrai dans un sommeil réparateur, jusqu’au lendemain huit heures. Il fallait que je me lève, car on devait tous se retrouver à dix heures pour le mariage civil. J’enfilai une robe de chambre et me dirigeai vers la cuisine où mon oncle et ma tante étaient déjà en train de déjeuner.
— Alors ? Bien dormi, Robert ? me questionna oncle Eugène.
Lui avait complètement récupéré de sa « cuite » de la veille. À côté de lui, tante Marie sirotait lentement son café.
— Tu nous as fait une de ces sérénades qui m’a empêchée de dormir avant deux heures du matin, ronchonna-t-elle à l’intention de son époux. ...