Tango des ombres du désir
Datte: 26/08/2019,
Catégories:
f,
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revede,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
fantastiqu,
Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe
... posé comme une odalisque, allongée sur le bureau avec ses bijoux, devant le tableau noir. Nous étions cachés dans une salle de classe fermée à double tour, car elle avait très peur que nous soyons surpris. J’étais vraiment émoustillé : pour la première fois, j’avais sous les yeux le corps d’une femme mature et d’ailleurs très bien faite, et je crois que je n’avais pas trop mal travaillé, cette fois-là, bien que je n’avais pas l’habitude des seins bien arrondis, voire même opulents, et des poils abondants sur la chatte, et autres détails anatomiques des dames. Bien sûr, je ne l’ai pas touchée, elle a gardé pour elle le dessin et je n’avais pas le droit d’en parler à qui que ce soit : c’était notre secret. Quoi qu’il en soit, ma réputation a commencé à faire tache d’huile, et j’ai fini par me faire renvoyer de l’école, car la directrice a eu peur du scandale.
On sentait bien que sans l’oser, il avait envie de dire : « Si tu veux bien poser pour moi, je réaliserai mon chef d’œuvre, car tu es la plus belle de toutes ». Il le pensait si fort que tout le monde l’avait sans doute entendu.
— Et toi, Jean, m’a-t-elle demandé afin de détourner d’elle douze regards convergents, tu as bien une expérience à nous raconter ? Avec ta stature de géant, tu as dû en séduire plus d’une, non ?
En effet, je mesure 1,97 m pour cent vingt kilos de muscles.
— Eh bien… C’est quelque chose que je ne raconte pas à tout le monde, mais après tout… Vous avez dû remarquer que je m’absente, ...
... certains soirs, avec avoir revêtu mon costume strict et une cravate. Ça ne vous a pas surpris ?
— Si. On ne t’a rien demandé parce que c’est ta vie, mais maintenant, raconte !
— Pour financer mes études et payer mon loyer, j’exerce l’activité de… bah, autant dire le mot, même s’il prête à rire : de gigolo. Autrement dit, je me prostitue, pour des dames exclusivement : je refuse systématiquement les hommes. Elles m’appellent, et je viens. Elles ont souvent un certain âge, mais certaines sont encore jeunes et n’ont pas suffisamment confiance en elles pour séduire des hommes qui, pourtant, se donneraient à elles gratuitement si elles le leur demandaient. Mais peu importe le nombre de leurs années : toutes sont belles, sans exception, quand je peux lire du désir au fond de leurs yeux. Et du désir d’étreindre des hommes, souvent, elles en ont à en revendre : je m’en rends compte à la lumière qui s’allume dans leur regard quand je me déshabille devant elles, pour elles. À leur tour, elles se mettent à nu sans façon, car je ne suis pas leur amant : elles viennent vers moi comme elles vont se faire chouchouter par l’esthéticienne. C’est une relation qui me convient parfaitement. Par expérience, je sais leur donner du plaisir en activant les points sensibles de leur corps de femme et en éveillant leur sensualité endormie.
— C’est intéressant, en effet ! Il y en a une qui t’a marqué particulièrement, a demandé Électre ?
— Oui, il y a six mois environ, une femme d’une cinquantaine ...